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Pour prendre contact avec
nous , envoyez nous un mél au
nima.lille@free.fr
tél: 06.66.48.16.13
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http://mediatheque.opale-sud |
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کنسرت
گروه رستاک در بروکسل
Concert de musique
persanne Rastak
Mercredi 13 April 2016 — 20H00 → 22:00
چهارشنبه، ۱۳ آوریل ۲۰۱۶ ،
- Brussels, Belgium
برگزار کننده:
Palais des Beaux-Arts (BOZAR)
Palais des beaux Arts, Henry Le Boeuf Hall,
Ravensteinstraat 23, Brussels, 1000, Belgium
لینک:
http://www.bozar.be/
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Cinéma Métropole - Lille
226, rue des ponts de Comines
59000 LILLE
accés métro Lille Flandres
Avant-première suivie d'un débat en présence du réalisateur
Ayat Najafi
Mardi 15 mars 2016 à 20h00
Mardi 15 mars à 20h00
NO LAND'S SONG
Réalisé par Ayat
Najafi
Avec Ayat
Najafi, Parvin Namazi, Sayeh Sodeyfi, Elise Caron, Jeanne Cherhal
En Iran, depuis la révolution de 1979, les femmes n'ont plus le droit
de chanter en public en tant que solistes. Une jeune compositrice,...voir
la suite
Avant-première suivie d'un débat en présence du réalisateur Ayat
Najafi.
Durée : 1h30. -
Genre : Documentaire
Sortie nationale le
16/03/2016
avant-premiere-no-land-s-song
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كنسرت گروه دستان در بروكسل
Samedi 12 Déc. 2015 20H
Hall M Rue Ravenstein 23 1000 BRUSSELS
http://www.bozar.be
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LES ÉCRITURES
CUNÉIFORMES AU PROCHE-ORIENT ANCIEN
DU MARDI 07 AVRIL AU
JEUDI 07 MAI 2015
Bibliothèque universitaire
centrale Lille 3
Conférence, Exposition,
visites libres ou guidées ,
ateliers d’écriture cunéiforme
destinés aux scolaires et aux familles
pour plus d'information :
Les écritures cunéiformes
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TAXI TÉHÉRAN
Film iranien de Jafar Panahi (2015)
Avec : Jafar Panahi
Durée : 1h22 - Version Vostf
JEU 14.05 20h30 ; VEN 15.05 18h30 ; SAM 16.05 16h30 ; LUN
18.05 18h30
MAR 19.05 20h30
Cinéma Le méliès
Centre commercial du triolo
rue Traversière
59650 Villeneuve d'ascq
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Association Nima vous invite à
Foire aux associations 2015
dimanche 27 septembre de 10h à 18h30
Palacium, rue Breughel,
Villeneuve d’Ascq
Renseignements: 03.20.43.50.05
Accès
Par métro : arrêt Pont de Bois suivre le Chemin des Bergères
Par route : sortie Pont de Bois
Parking gratuit à proximité (au P5)
Parking vélo gardé et gratuit
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Syngué Sabour - Pierre de patience
jeudi 22 octobre à 0h25 (97 min) sur ARTE
visible aussi sur Arte+7: jusqu'au 29 octobre 2015
http://www.arte.tv/guide/fr/050736-000/syngue-sabour-pierre-de-patience
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Film iranien de Sepideh Farsi (2015)
Avec : Mina Kavani, Vassilis Koukalani, Shabnam Tolouei, Babak Farahani,
Javad Djavahery
Durée : 1h27 - vostf
MER 21.OCT 16H30
SAM 24.OCT 18H30
DIM 25.OCT 20H45
Cinéma Le méliès, Centre commercial du triolo, Rue
Traversière, 59650 Villeneuve d'ascq
 
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Mardi 20 octobre à 20h,
en
'avant-première "Nous trois ou rien" Film Français
en
présence du réalisateur et acteur : Kheiron et de l'actrice : Leïla Bekhti.
au Cinéma Kinepolis
Lomme - France
1 rue du Chateau d'Isenghien BP 121 59461 Lomme Cedex
http://kinepolis.fr/films/nous-trois-ou-rien#information
D’un petit village du sud de l’Iran aux cités
parisiennes, Kheiron nous raconte le destin hors du commun de ses parents
Hibat et Fereshteh, éternels optimistes, dans une comédie aux airs de conte
universel qui évoque l’amour familial, le don de soi et surtout l’idéal d’un
vivre-ensemble.
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ARASH NASSIRI
expose du 7 au 29 novembre 2015
dans le cadre de l'exposition
collective
(An)suite#2
Vernissage le vendredi 6 novembre 2015
à partir de 18 h30 + repas after à partir de 21 h (réservation sur place).
Lasécu 26 rue Bourjembois 59000 Lille -
T. 03 20 47 05 38 - contact@lasecu.org - www.lasecu.org
Mercredi, jeudi de 14 h à 18 h - Vendredi, samedi et dimanche de 14 h à 19 h
- Métro : station Fives
Né en 1986 à Téhéran (Iran), vit et travaille à Paris (Ile-de-France,
France)
Arash Nassiri est un jeune artiste franco-iranien né en 1986. Son parcours
passe par les Beaux-Arts et les Arts déco de Paris, puis l’école du Fresnoy.
Son travail s’inscrit dans une démarche de prise de possession de la
réalité, mais pour y débusquer l’invisible, le souvenir, l’imaginaire.
Extrait du texte de Dorith Galuz
Tehran-geles, 2014, PVidéo, 18’ 9’’
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L'IRAN DANS LE COEUR
SÉRIE DOCUMENTAIRE sur
ARTE
Deux Iraniennes installées en
Europe retournent dans leur pays pour témoigner de ses réalités
d’aujourd’hui, loin des clichés
lundi 04 janvier 2016 à 17h45 (26 min) :
Le retour
mardi 05 janvier 2016 à 17h45 (27 min) : La foi
mercredi 06 janvier 2016 à 17h45 (26 min) : Les artistes
jeudi 07 janvier 2016 à 17h45 (26 min) : Les lieux de
nostalgie
vendredi 08 janvier 2016 à 17h45 (26 min) : Les
surprises
information :
http://www.arte.tv/guide/fr/058425-001/l-iran-dans-le-coeur
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 Vendredi 19 Février 2016 19H00
Poésie
et musique iraniennes
organisée par
l'Association Âbe Ravân
Librairie Le bateau Livre
154 Rue Gambetta, Lille
Lectures
de Forough, Shamlou et Khayyam
par Céline Cuingnet et Yosra Mojtahedi
Simon Dusart et Pejman Habibi
accompagnés au
setar par Kamran Akradi,
au
violoncelle par Timothée Couteau
et au
tonbak par Christian Perraudin.
http://www.aaberavaan.com/
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bulletin d'adhésion
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L’association Nima a le plaisir de vous inviter à la rencontre d'un
film Documentaire Iranien
de Mehran
Tamadon
Vendredi
19 décembre 2014 à 20H00
Cinéma Le
méliès ; Villeneuve d'ascq, métro Triolo
en présence du Réalisateur
informations
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Réservation:
http://www.nextfestival.eu/fr/event/lives
revue de presse :
Ali Moini, un chorégraphe iranien si loin de
son pays |
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MERCREDI 17 SEPT
14h15
Projection vidéo
LA CLÉ
Par : Krysalide Diffusion
De Ebrahim Forouzesh 1986 – Iran - 1h26
Scénario de Abbas Kiarostami - à partir de 8 ans.
Amir a quatre ans. Sa maman a des courses à faire. Elle lui recommande son
petit frère de six mois. En partant, elle ferme soigneusement la porte à
clé...
Après la séance : analyse du
film.
entrée Gratuite
GARE SAINT SAUVEUR
Boulevard Jean-Baptiste Lebas, Lille
METRO : Lille Grand Palais; Mairie de Lille
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Association Nima vous invite à
La Foire aux associations 2014
32 ème édition
Dimanche 14 septembre
de 10h à 18h30 au Palacium à Villeneuve
d'Ascq.
http://www.villeneuvedascq.fr/foire_aux_associations.html |
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Vendredi 23 mai 2014 20H30
Spectacle de danse d' Afshin Ghaffarian
Une trop bruyante solitude
au
Centre Chorégraphique National Roubaix
33 rue de l’Epeule,
59100 Roubaix
Situé dans le bâtiment du Colisée - Théâtre de Roubaix, côté
rue de l’Épeule.
+ 33 (0) 3 20 24 66 66
Métro : ligne 2 station Gare Jean Lebas
http://www.balletdunord.fr/fr/
réservation
http://www.forumsirius.fr
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Film kurde, français et allemand d'Hiner Saleem avec Golshifteh Farahani,
Korkmaz Arsaln, Tarik Akrevi… (1 h 35).
http://www.lemelies.fr/film/my-sweet-pepper-land/
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https://www.lemetropolelille.com/film/my-sweet-pepper-land-2014
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IL ÉTAIT UNE FOIS... UNE SÉPARATION et UNE FÊTE DU FEU
Soirée cinéma Iranien sur ARTE
Mercredi 5 février 2014 à
20h30
http://www.arte.tv/
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bulletin d'adhésion
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http://www.cndp.fr
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Dimanche 16 décembre 2012
9H30 à 18H
Parviz LAK
Expose au salon des artistes et des artisans
Rue Jean Baptiste Defaux
salle George Brassens, LEZENNES
Entrée libre
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ARGO Film Américain de
Ben Affleck
2012
Le 4 novembre 1979, au summum de
la révolution iranienne, des militants envahissent l’ambassade américaine
de Téhéran, et prennent 52 Américains en otage. Mais au milieu du chaos,
six Américains réussissent à s’échapper et à se réfugier au domicile de
l’ambassadeur canadien. Sachant qu’ils seront inévitablement découverts et
probablement tués, un spécialiste de "l’exfiltration" de la CIA du nom de
Tony Mendez monte un plan risqué visant à les faire sortir du pays. Un
plan si incroyable qu’il ne pourrait exister qu’au cinéma.
Horaires des séances
UGC Ciné Cité Lille
40 rue de Béthune, Lille
VO st Fr 10:55
14:00 16:45
19:45 22:10
Majestic
VO st Fr
11:15 13:50
16:10 19:00
21:20
1 rue du château d'Isenghein, Lomme
VF
14:00 16:45
19:45 22:30
21 avenue de l'avenir, Villeneuve d'Ascq
VF
11:15 14:00
17:10 20:00
22:20
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L’association Nima
a le plaisir de vous proposer un Concert de musique Iranienne
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Rencontre lecture de poésie-débat
Bilingue français/persan
De Parviz LAK
Vendredi 15 juin à partir de 15h
A la librairie Tirloy 62 rue Esquermoise Lille
Samedi 16 juin de à partir de 15h
A la librairie La Colombe d'argent
34 Rue des Bouchers Lille
Cette petite boutique, située en plein cœur
du Vieux Lille et reconnaissable par sa belle devanture, avec le
symbole de la paix pour enseigne, mérite incontestablement de s’y arrêter,
ne serait-ce que par curiosité. Au milieu d’une impressionnante collection
de livres qui ont tous pour point commun d’évoquer la Méditerranée, se
dresse un salon de thé où, un livre à la main, il est possible de déguster
pâtisseries orientales et thé à la menthe.
Organisées par
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Rediffusions
du film iranien sur
ARTE
samedi 16/juin/2012
à 03:20
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Arts en Cambrésis
a le plaisir d'accueillir cette année,
dix ARTISTES IRANIENS VIVANT EN
EUROPE.
Arts en Cambrésis
14 place Clemenceau
59137 Busigny
Tél.: 03 27 85 71 29
http://www.artsencambresis.com/
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Marjane Satrapi à l'Edhec de Roubaix le 11 avril
Venez rejoindre la librairie à la rencontre de Marjane
Satrapi le mercredi 11 avril à 18h30 à l'Auditorium de l'EDHEC ! Nous vous y
proposerons ses livres en vente pour dédicace.
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: لحظه تحويل سال بوقت اروپاى غربى
سه شنبه ٢٠ مارس ٢٠١٢
ساعت ٦ و ١٤ دقيقه و ٢٧ ثانيه
: لحظه تحويل سال بوقت ايران
سه شنبه ١ فروردين ١٣٩١
ساعت ٨ و ٤٤ دقيقه و ٢٧ ثانيه
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Au
cinéma Le Méliès à Villeneuve d'Ascq :
Fleurs du Mal
Film français de David Dusa (2012)
Avec
: Rachid Youcef, Alice Belaïdi
Durée
: 1h40
Jeudi
16 février
à
18h30
Vendredi
17 février
à
20h45
Lundi
20 février
à
16h30
http://www.fleurs-du-mal.net/
/
http://www.youtube.com/FleursDuMalFilm
Salle du méliès
: rue Traversière, Centre Commercial du Triolo.
Site internet :
http://www.lemelies.fr/
Métro
: ligne 4 Cantons, Station Triolo.
Renseignements : 03 20 43 80 74
Paris-Téhéran. Une histoire d’amour entre deux déracinés - Gecko, jeune
affranchi, et Anahita, iranienne exilée - contaminée par l’Histoire et
sa médiatisation spontanée et inédite sur Internet
"
Devant une caméra légère, une jeune iranienne, provisoirement réfugiée à
Paris et un jeune parisien se découvrent. Il danse, partout dans la
ville qui fait un terrain de jeu à son corps en liberté, et c’est
d’abord cette liberté que la jeune femme apprend à aimer. Ils se
rapprochent et peu à peu la caméra se resserre sur leurs sourires, à la
découverte de Paris, ils se créent une intimité. Chacun de leur côté,
ils s’intéressent à ce qui se passe en Iran : une révolte et la violence
de la répression, visible sur Youtube. Les nouvelles arrivent, des
téléphones portables aux écrans des ordinateurs de nos personnages, et
le son des images iraniennes gagnent progressivement le film parisien,
jusqu’à contaminer l’histoire d’amour naissante…. Après Redacted,
Internet prend sa place dans les films de cinéma et en bouscule les
formes. Des acteurs très justes pour une idée moderne, originale ; une
caméra qui sait s’adapter à eux, donnant une impression de naturel, de
vie comme elle vient. Et elle vient parfois douloureusement : les
mouvements aériens de la danse contrastent avec le bougé des caméras
dans la foule iranienne, et entre leurs deux corps qui s’accordent
demeure un écart difficile à franchir. Comment s’engager, quitter le
regard sur les images pour entrer dans la réalité ? "
Stéphane ARNOUX, cinéaste
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A propos d'Elly Film iranien
sur la chaine ARTE
Lors d'un week-end au bord de la mer, une jeune femme disparaît... Un
magistral portrait de groupe dans l'Iran d'aujourd'hui, par le futur auteur
d'Une séparation.
ARTE F / © Memento Films Distribution
mercredi, 15 février 2012 à 20:35
Rediffusions :
24.02.2012 à 02:15
A propos d'Elly
(Iran, 2009, 113mn)
Réalisateur: Asghar
Farhadi
Image: Hossein
Jafarian
Musique: Andrea
Bauer
Montage: Hayedeh
Safiyari
Auteur: Asghar
Farhadi
Distributeur: Memento
Films Distribution
Production: Dreamlab
Producteur: Asghar
Farhadi, Mahmoud
Razavi
   
Lors d'un week-end au bord de la mer, une jeune femme
disparaît...
Un magistral portrait de groupe dans l'Iran d'aujourd'hui,
par le futur auteur d'Une séparation.
Une bande de copains, issus des classes moyennes de Téhéran, s'en va
passer un joyeux week-end dans une maison louée au bord de la mer
Caspienne. Sepideh, qui s'est chargée de l'organisation, a invité Elly,
l'institutrice de sa fille, en espérant que la jeune femme ne sera pas
indifférente au charme de leur ami Ahmad, qui sort tout juste d'une
rupture. De fait, Sepideh semble avoir vu juste. Mais lorsqu'Elly
comprend, aux plaisanteries du groupe, que la rencontre a été préméditée,
elle s'effarouche et annonce son intention de partir le lendemain. Le jour
suivant, sur la plage, elle disparaît, alors que deux enfants étaient sous
sa garde...
Maestria
Film limpide et poignant, À propos d'Elly tourne tout
entier autour du mensonge et du non-dit. Commencé sur le ton d'une comédie
insouciante, il s'achève dans la pure tragédie, avec son lot d'angoisse,
de tension et de remise en cause. Dans ce huis clos qui tient à la fois du
portrait de groupe et de la peinture du couple, la question du rapport
entre les sexes et les classes est évidemment au premier plan, à travers
les gestes et les remarques les plus anodines. Dans l'ambiance festive du
début, et l'apparente liberté qui règne dans le groupe, le poids des
conventions sociales semble peu prégnant. Mais avec la disparition de
l'énigmatique Elly, le changement de ton est brutal : chacun se dévoile,
se révèle et doit se déterminer en fonction de sa place, mouvante et
contradictoire. Dans son rôle d'entremetteuse prise à son propre piège,
Golshifteh Farahani (que l'on retrouve à l'affiche de Poulet aux prunes de
Marjane Satrapi, coproduit par ARTE France Cinéma) est éblouissante. Mais
elle n'est pas la seule. Le futur réalisateur d'Une séparation (qui allait
rafler à Berlin, une année après À propos d'Elly l'Ours d'or du meilleur
film et deux ours d'argent pour ses quatre acteurs principaux) démontre
jusqu'au vertige son sens magistral de la mise en scène, de la direction
d'acteurs, du scénario. Un chef-d'oeuvre.
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L’association Nima a le plaisir de vous inviter à la rencontre d'un
film Documentaire Iranien
de Kaveh
Bakhtiari
Mardi 17 décembre 2013 à
20H00
Cinéma Le
métroppole
métro Gare
Lille Flandre
L’association Nima a le plaisir de vous inviter à la rencontre d'un
film Américain
de Mitra
Farahani
Mercredi 11 décembre 2013 à 16H15
Vendredi 13 décembre à 18h30
Lundi 16 décembre à 20h30
Cinéma Le
méliès Villeneuve d'ascq
métro Triolo
http://www.lemelies.fr/film/fifi-hurle-de-joie/
Le monde :
lemonde.fr le Nouvel Observateur :
cinema.nouvelobs.com Libération
:
liberation.fr Parviz LAK
Expose au salon des artistes et des artisans
Dimanche 15 décembre 2013
9H30 à 18H
Rue Jean Baptiste Defaux
salle George Brassens, LEZENNES
Entrée libre
L’association Nima
a le plaisir de vous proposer un Concert de musique Iranienne
Mercredi 29 Janvier 2014
à 18H
à L'Opéra de LILLE
http://www.opera-lille.fr
L’association Nima a le plaisir de vous inviter à la rencontre
d'un film Afghan
Dimanche 8 décembre 2013 à 17h30
suivie d'un
Apéro-discussion
Cinéma Le
méliès Villeneuve d'ascq
métro Triolo
http://www.lemelies.fr/film/wajma-une-fiancee-afghane/
L’équipe de Perspectives vous
propose,
une grande
conférence sur le thème de
« L’Iran, au cœur
d’un Moyen Orient sous tensions » animée par Gilles Kepel.
Mardi 26 Novembre 2013
18H30
Les Facultés de l'Université Catholique
RS 30 - 58 Rue du Port Lille
Dimanche 8
Septembre
Venez nombreux à notre rencontre
Foire aux association 2013 à Villeneuve d'Ascq
de 10h à 18h
au Palacium, Rue Breughel
Foire aux Associations
Mardi 21 mai 2013 20H00
Cinéma l'Univers
16 rue Georges Danton
59000 Lille (Moulins) Métro Porte de Valenciennes
Ceci n’est pas un film
Séances cinéma
Suivi d’une rencontre sur le thème
de la liberté d’expression en Iran
Jafar Panahi, Mojtaba Mirtahmasb | docu |
Iran | 2011 | 75 min
documentaire sur la liberté d’expression en Iran
Tarifs : 3 euros
Proposé par Amnesty International France - groupe de Lille
http://lunivers.org/evenement/ceci-nest-pas-un-film/
Groupe Yaran
24 / Mai / 2013
En Belgique à Bruxelles
Musique publique - Théâtre molière :
Adresse : Galerie de la
Porte de Namur ,
Square du Bastion 3 , Ixelles 1050
A notre grand regret, nous vous informons notre
incapacité d'assurer la soirée du 23 Mars essentiellement pour des problèmes
de gestion de salle.
Veuillez nous excuser
Samedi 23 Mars 2013
à 20H00
Une Soirée de Poésie Persan-Français
(lecture en persan, projection en
français)
Parviz LAK poète
Mahdad Moussazadeh musique
dans le cadre du printemps des
poètes 2013
organisé par la mairie d’Hellemmes
Ecole de musique
1A Rue Marceau Hellemmes
Réservation : 03 20 33 10 13
Entrée libre
Samedi 23 Mars 2013 à 20H00
La mairie d’Hellemmes propose
dans le cadre du printemps des poètes 2013
Une Soirée de Poésie Persan-Français
(lecture en persan, projection en français)
Parviz LAK poète
Mahdad Moussazadeh musique
Ecole de musique
1A Rue Marceau Hellemmes
Réservation : 03 20 33 10 13
Entrée libre
Au nom d'Athènes
Darius, le roi des Perses en
docu-fiction
Documentaire de Fabrice Hourlier sur
Arté
samedi 24 novembre 2012
2x 52' 20:45 - 22:35
Une reconstitution spectaculaire des batailles de Marathon et Salamine,
au Ve siècle avant J.-C., à l'aide d'images de synthèse et de dialogues en
grec ancien et en persan !
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De - 499 à - 479, les guerres
médiques marquent l'affrontement entre l'Orient et l'Occident dans une
lutte sanglante entre deux civilisations, deux visions du monde, deux
conceptions politiques de la société et de son fonctionnement. À dix
années d’intervalle, Marathon et Salamine sont deux batailles décisives
de ces guerres, marquées jusque-là par l’avancée de la redoutable
puissance perse. Darius, Roi des Perses, son fils Xerxès, les stratèges
grecs Miltiade et Thémistocle en sont les illustres protagonistes.
Terrestres puis navales, ces deux expéditions militaires, lancées par un
ennemi oriental sûr de son triomphe, se concluent pourtant par deux
victoires éclatantes des cités grecques menées par Athènes et Spartes.
Deux victoires aussi spectaculaires qu’incertaines au départ, dont la
seconde portera un coup fatal aux ambitions expansionnistes de l’ennemi
perse. Ultimes combats des Guerres médiques, Marathon et Salamine
apparaissent désormais comme point de départ de l’hégémonie athénienne
en Mer Égée et fondatrices de l'histoire des démocraties occidentales.
Ces deux films proposent aujourd’hui de revivre l’épopée antique qui
marque ce tournant final et détermine l’avènement de la démocratie
athénienne. |
projection du Film iranien " Une Famille
Respectable "
au Cinéma Le
Métropole
26, rue des ponts de Comines
59000 LILLE
accés métro Gare Lille
Flandres
La semaine du cinéma social et
solidaire
Du 15 au 19 novembre - Entrée libre
Des acteurs de l’économie sociale et
solidaire questionnent le sens du travail dans notre société en proposant
une semaine de projections et de débats. L’édition
2011 se consacre aux formes de résistances que les mouvements sociaux
ont porté dans le passé et continuent d’inventer aujourd’hui.
GARE SAINT SAUVEUR LILLE
( face au Parc JB Lebas - Métro Mairie de Lille )
projection du Film iranien QUERELLES de
Morteza Farshbaf
au cinéma Le Méliès
L’association Nima
a le plaisir de vous proposer un Film en
Avant-première
États-Unis, Iran, France, 2011, 1h45 min. V.O. sous-titrée
Avec Nikohl Boosheri, Sarah Kazemy, Reza Sixo Safai
Projections
Vendredi 20 janvier : 20h30,
en présence de Sarah Kazemy, actrice.*
Dimanche 22 janvier :
11h
Mardi 24 janvier : 17h15
plus de renseignement sur le site de
http://www.ramdamfestival.be/fr/fictions/en-secret/
Imagix Tournai
Boulevard Delwart, 60
7500 Tournai
+32 69 23 26 24
info@imagix.be
www.imagix.be
Cinema en resistance
Film
Hors Jeu
de Jafar Panahi
8 Mai 2006 : l’Iran est en passe de se qualifier pour la coupe du monde de
football. Une fille déguisée en garçon s’est glissée parmi les supporters et
brave ainsi l’interdiction faite aux femmes d’assister aux manifestations
sportives. Très vite démasquée, elle est enfermée dans un enclos avec
d’autres filles. Sur un registre léger et offensif, le film réduit la loi
répressive à une force abstraite pour s’intéresser davantage à la joute
entre les supportrices avides de liberté et leurs gardiens soucieux de
conserver leur statut.
Debat
Le film peut-il lui même devenir
lutte ?
Aujourd'hui, le régime Iranien remet en prison Jafar Panahi pour 6 ans avec
interdiction de réaliser des films durant 20 ans. Cinéaste engagé, il est
parmi les plus influents du mouvement de la nouvelle vague iranienne. Alors
que les oeuvres de Panahi sont systématiquement primées dans les grands
festivals internationaux, elles sont aujourd'hui interdites dans son propre
pays. Le régime a également mal accueilli Hors Jeu qui dénonce la place
réservée aux femmes dans son pays. En effet, ce documentaire fiction, devenu
culte, traite de la fronde des iraniennes, fans de football, assistant
clandestinement aux matchs, en contournant l'interdiction faite aux femmes,
depuis la révolution islamique de 1979, de pénétrer dans les stades. La
réflexion se porte principalement sur la question du travail du cinéaste et
sa liberté de donner à voir, de dire sans que celle-ci ne soit stigmatisée.
Comment la représentation du réel peut-elle être mise à mal ? Comment
résister et continuer à donner une vision de notre société ?
Intervenant : Hossein Djazayeri (Psycho-sociologue,
Association Promocom, Iranien)
Animation : Thierry Cormier, formateur audio-visuel, association
COLLATERAL. |
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Cinéma "Le Métropole "
26, rue des ponts de Comines
59000 LILLE
accés métro Lille Flandres
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Projection du film iranien " UNE
SEPARATION
" au cinéma Le Métropole
26, rue des ponts de Comines
59000 LILLE ( accés métro Gare Lille Flandres )
http://www.lemetropole.com/
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Invitation expo et
vernissage du photo club de Lille.(Tirdad Rad)
EXPOSITION
COLLECTIVE 2011
Association Nima vous invite à l'exposition de photographies
iraniennes de Tirdad Rad qui
se déroulera a la bibliothèque de Mons en Baroeul du 20 mai au 5
juin.
Lieu : Fort de Mons en Baroeul
Dates : du 20 mai au 05 juin
Horaires : heures d'ouverture de la bibliothèque en semaine et
de 10 h à 18 h le samedi et 14 h à 18 h le dimanche
venez nombreux !
Pour tous renseignement contactez
06.16.65.86.52
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Entretien
avec le réalisateur Rafi Pitts
http://www.laterna-magica.fr/blog/?p=11536
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L'association Nima a
le plaisir de vous proposer un concert de musique persanes
à l'Opera de lille le
26 janvier 2011
pour plus de renseignement
et réservation :
http://www.opera-lille.fr/fr/saison-10-11/bdd/cat/mercredi/sid/99267_melodies-persanes
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Soirée PERFORMANCE /
LECTURE
Jeudi 16 Juin à 20h
Lecture des
textes du poète iranien PARVIZ LAK en duo avec Nathalie Brutin
sur le thème de
l'exil et du déracinement
Suivi de SABOUR,
3O minutes
Performance duo
créée par deux artistes du Fresnoy :
l'une plasticienne (Elika HEDAYAT, Iranienne)
l'autre
danseuse/cinéaste (Tamara ERDE, Israélienne).
Dans cette
performance entre recherche chorégraphique, dessins et nouvelles
technologies,
l'imaginaire brise les frontières que ces jeunes artistes
ne peuvent
franchir dans la réalité.
Salon de thé
oriental proposé par Attacafa, partenaire de la soirée.
100 rue de
Tournai - TOURCOING - Métro : TOURCOING CENTRE
( l'Hospice d'Havré
est à qq centaines de mètres)
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L’association Nima
et Cinéma le Méliès ont le plaisir de vous proposer
Noces éphémères
Film français de Reza Serkanian (2011)
Avec : Mahnaz Mohammadi, Hossein Farzi
Zadeh, Javad Taheri, Dariush Asad Zadeh, Clotilde Joulin
Durée : 1h23
jeu
08.12 20h30
sam
10.12 17h00
dim
11.12 20h30
mar
13.12 18h30
 Cinéma
art et essai Lille Métropole. Villeneuve d'Ascq
« Décentrement. On ne regarde pas de la même manière avant et après
Noces Ephémères. C’est absolument
aujourd’hui, et c’est absolument hors des clichés d’aujourd’hui. Une
famille en Iran, une fête, une mort, un mariage qui se fait attendre – des
« noces éphémères » entre-temps, peut-être (surtout ne pas révéler ici en
quoi elles consisteraient). Tout cela constitue un texte, un tableau, que
le film met en place avec élégance, fluidité, dans une forme d’harmonie
joyeuse. Et à l’intérieur de quoi, tout en restant inscrits dans la trame
harmonieuse des jours, sans crise, les personnages émergent peu à peu
comme singularités, les fils commencent à se tisser en un réseau de
contradictions, les désirs individuels à se faire entendre. Et là,
peut-être, les problèmes commencent. « Peut-être » : parce que peut-être
aussi il y aura une solution. On la cherche en permanence : par la
négociation, la bonne combinaison, l’arrangement, avec Dieu, la
communauté, la police, la famille. Qui peut dire s’il y a une solution ?
Mais à l’inverse, qui peut décréter à l’avance qu’on n’en trouvera pas ?
Noces éphémères nous met face à la
question avec une douceur magnifique : et dans cette douceur, dans cette
harmonie – le film ouvre un espace de regard inédit. »
Marina Déak, cinéaste de l'ACID
* * *
« Reza Serkanian sonde les cœurs en profondeur. Il ménage à ses
personnages de fragiles marges d'existence. Avec une grande subtilité qui
s'adosse à une égale beauté plastique, le cinéaste parvient à
universaliser des émotions et déchirements sous le joug de contraintes que
certains intègrent, que tous subissent. (…) En même temps que se révèlent
les personnalités de protagonistes parvenus au terme de leurs
contradictions, il oblige d'une main légère le spectateur à dépasser les
images toutes faites. Comme d'autres réalisateurs d'Iran éclairent la
réalité des classes moyennes urbaines de leur pays, Reza Serkanian dévoile
la complexité de gens modestes et provinciaux. »
Dominique Widemann, L’Humanité
« A travers l’attirance refoulée entre une belle veuve et son jeune
beau-frère, le cinéaste montre la pression des codes sociaux et des
traditions sur les moindres aspects de la vie privée. Le cinéaste n’en
fait pas un drame, juste une chronique discrètement amère. Autour d’une
tradition très particulière, le « mariage temporaire » (sorte de
laissez-passer religieux pour une brève rencontre amoureuse), il souligne
les impasses et les hypocrisies. En privilégiant les instants minuscules,
anodins, parfois drôles. Et sans jamais caricaturer personne : ses
personnages ne sont pas les pantins d’une fable politique, mais des êtres
de chair, vifs, attachants. Leur dilemme - plier ou s’exiler - n’en est
que plus glaçant. »
Cécile Mury, Télérama
« Comment s’arranger avec les prescriptions de la société ? Comment
contourner une réalité contraignante qui entrave les relations entre les
êtres et plus particulièrement entre les hommes et les femmes ? Loin des
clichés, le film de Reza Serkanian est un écheveau subtil d’interdits et
d’accommodements avec ceux-ci. (…) L’intérêt du film repose non seulement
sur cette illustration de l’inclination humaine à composer avec la
réalité, mais aussi sur la façon dont, subtilement, l’apparente évidence
des enjeux du récit est perturbée par une évolution subtile et inattendue
des relations entre les personnages. Car la vérité humaine qui transparaît
dans ce film, à la maîtrise formelle invisible et pourtant brillante, est
la stricte conséquence de la manière dont Reza Serkanian parvient à rendre
tout un petit monde particulièrement attachant. Loin et proche. »
Jean-François Rauger, Le Monde
« Après Une séparation,
Au revoir et
Ceci n’est pas un film,
Noces éphémères porte, à son tour,
un regard préoccupant sur la société iranienne où autonomie et libertés
individuelles sont proscrites. Avec, ici, en ligne de mire, l’hypocrisie
des traditions maritales, la sexualité féminine et la douleur de
l’abstinence. Des thèmes sociétalement forts portés par des personnages
dont la complexité tient à distance tout manichéisme ou schématisme. Une
chronique de la solitude et de l’enfermement ordinaire portée par une mise
en scène à la sensualité entravée. »
Xavier Leherpeur, L’Express
« Noces éphémères touche par sa
sincérité. Prenant comme argument un étrange mariage à durée déterminée,
il plonge au coeur d’une cellule familiale traversée par des trajectoires
de désirs difficiles à masquer : une jeune veuve éprouve une vive
attirance pour son beau-frère, alors que la famille est en deuil du
patriarche. Les funérailles s’avèrent complexes, la ville traque toute
entorse à l’ordre moral, les policiers ne semblant être préoccupés que par
la recherche « d’affaires filles garçons ». Malgré cette avalanche
d’interdits, tous plus aberrants les uns les autres, se dégage du film une
grande douceur, une sensualité qui se joue des voiles et des frustrations.
La transgression est toujours implicite, à la lisière du chaos, dessinant
une frontière sensible, un terrain de jeu délicieusement dangereux pour
les sentiments. »
Vincent Thabourey, Positif
« Avec une mise en scène épurée et une grâce silencieuse,
Noces éphémères inspire un souffle
de vie sous le voile du hidjab. Subtil, élégant, bouleversant. En un mot
authentique. Noces éphémères est un
pur objet de poésie. Réalisé par Reza Serkanian et déjà recompensé pour
ses qualités d’écriture (Grand prix du jury Sopadin : meilleur scénario),
le premier long-métrage du cinéaste iranien a de beaux jours devant lui.
L’originalité du sujet (le mariage à durée déterminée), l’audace de mise
en scène (tournage mené malgré la censure), et la force d’humanité des
personnages font de ce film le portrait de toute une génération. Car ici,
le contexte, loin de se faire oublier sous les artifices de la fiction,
prend de l’ampleur et gagne la sphère de l’intime, du moi et de la
relation à l’autre. »
Estelle Charles, A voir A lire
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Site
WEB :
http://www.bassidji-lefilm.com/
http://www.bassidjimovie.com/fa/movie/detail/article/festivals/
Le Méliès -
rue Trudaine 59650 Villeneuve-d'Ascq Métro/accès : Triolo
Renseignement : 03 20 43 80 74
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Projection de film Iranien
du 14 au
20 Avril 2010
au Cinéma " Le Métropole " - 26, rue des
ponts de Comines - 59000 LILLE - Accès Métro "Lille Flandres"
http://www.lemetropole.com/
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Farhad , Iranien de Mons-en-Baroeul
Reportage documentaire dans l'émission «
le Monde est p’tit »
sur France 3
le
samedi 3 avril à 16h20, Le Monde Est Petit
rencontre Farhad, iranien de Mons-en-Baroeul.
Rediffusion
le dimanche 4 avril à 11h30.
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premier roman de l’auteur iranien Hamid Ziarati à paraître début mars
aux éditions Thierry Magnier
Avec ce roman Thierry Magnier “relance” sa collection de romans adultes
Suivront deux recueils de nouvelles
 
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Dimanche 15 novembre 2009
Iran : société et politique
De 14h30 à 17h
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille
 | Azadeh Kian,
Professeur de sociologie, directrice du CEDREF (Centre de
Documentation et de Recherche pour les Etudes Féministes), UFR de
Sciences Sociales Université Paris7-Denis Diderot
A notamment publié : La République islamique d’Iran : de la maison
du Guide à la raison d’Etat (Michalon) ; Les
femmes iraniennes entre islam, Etat et famille (Maisonneuve
et Larose) ; Avoir vingt ans en Iran
(Alternatives) |
| Bernard Hourcade,
Directeur de recherche au CNRS (Laboratoire Mondes iranien et indien),
directeur de l’Institut français de recherche en Iran de 1978 à 1993
A notamment publié : L’Iran au XXème siècle (en
collaboration, Fayard) ; Iran, nouvelles identités d’une
république (Belin) ; (à paraître en janvier
2010) Géopolitique de l’Iran |
| Modérateur : Jacques Lemière,
Agrégé de sciences sociales, maître de conférences, Université de
Lille 1, membre du CLERSE-CNRS (Centre Lillois d’Etudes et de
Recherches Economiques et Sociales) |
Cité-Philo a accueilli en novembre dernier des intellectuels et
artistes iraniens, ainsi que des spécialistes français de “la pensée
venue d’Iran”. Dans le contexte préélectoral de 2008-2009, nous avions
délibérément choisi une entrée philosophique, artistique et culturelle
: il s’agissait de restituer la vision d’une histoire philosophique,
d’une culture, et de témoigner de la vitalité d’une société civile
contre le réductionnisme imposé à la représentation de l’Iran par la
géopolitique dominante, représentation qui tendait rien moins qu'à
confondre une société et son Etat. La situation créée le 12 juin 2009
par le mouvement de protestation contre le coup de force électoral en
Iran a conduit Citéphilo à l’organisation et à la publication en
France de la “Lettre ouverte de soutien aux manifestants en Iran” du
19 juin 2009. Il s’agit aujourd'hui, dans les conséquences de
l’événement que fut le mouvement de juin, de revenir sur la question
politique, en vue d'examiner, la manière dont l'Etat devient lui-même
le cadre de contradictions politiques, de façon à mieux comprendre les
formes que peut prendre l’expression de la société civile, que ces
formes soient sociales (une vie associative multiforme) ou politiques
(les formes de protestation).
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L’Iran et l’Occident
(1/3)
Mardi 17 février à
23h25
sur la chaine France3
Khomeiny, l’homme qui a changé le monde (1978-1981) Ce premier
épisode d’une série de trois décrit la manière dont l’Ayatollah va
imposer son autorité en Iran...
Épisode 1 : KHOMEINY, L’HOMME QUI A CHANGÉ LE MONDE (1978-1981)
Réalisation : Dai Richards
Auteurs Norma Percy et Brian Lapping
Production BBC, en association avec France 3
À partir de la révolution qui a entraîné l’arrivée très médiatisée
de Khomeiny en Iran, le départ du shah pour les États-Unis et la
déclaration de guerre contre l’Irak, ce premier épisode décrit la
manière dont l’Ayatollah va imposer son autorité dans le pays, voire
bien au-delà, jusqu’en Amérique.
Pour la première fois à la télévision, l’ex-président Jimmy Carter
raconte l’histoire d’une expérience d’humiliation sans égale subie
par la Maison Blanche, à savoir l’échec de la libération des otages
américains retenus à l’ambassade américaine de Téhéran, qui a
entraîné son échec à l’élection présidentielle et l’investiture de
Ronald Reagan.
Installés jour et nuit dans le bureau ovale de la Maison Blanche,
ses principaux collaborateurs ont partagé avec le président ses
efforts pour libérer les otages. Parmi eux : Walter Mondale
(vice-président), Zbigniew Brzezinski (conseiller à la sécurité
nationale), Warren Christopher (adjoint au secrétaire d’Etat) et
Gary Sick (spécialiste de l’Iran, membre du Conseil de Sécurité) ont
tous accepté de témoigner dans ce film, et décrire presque heure par
heure ces moments historiques.
Cet épisode nous fait partager les dernières 48 heures de la
présidence de Carter à l’intérieur de la Maison Blanche, avec des
images totalement inédites. |
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Iran/Occident (2/3 et
3/3)
Mercredi 18 février à
23h00 sur France3
L’ayatollah Khomeiny meurt en 1989. La république islamique d’Iran
survit à son inspirateur... Mercredi 18 février à partir de 23h00.
Episode 2 : UN ETAT MARGINALISE (1982-2001)
réalisé par Delphine Jaudeau
La Révolution islamique Iranienne a eu pour conséquence de priver le
monde occidental d’un ami puissant, le shah d’Iran. Elle allait
également déstabiliser d’autres puissances pétrolières alliées au
monde occidental. Le deuxième volet de cette série donne la parole
aux deux grands leaders de l’histoire de l’Iran depuis la mort de
l’ayatollah Khomeiny en 1989.
Pour la première fois et en exclusivité, Hashemi Rafsanjani,
président de l’Iran entre 1989 et 1997, et Mohammad Khatami,
président de l’Iran de 1997 à 2005, ont accepté de répondre de
manière détaillée à des questions concernant leurs rôles respectifs
pendant leurs mandats.
Dans cet épisode, on revient également sur la libération des otages
français retenus au Liban par le Hezbollah, une armée organisée par
les forces militaires iraniennes, avec une interview du président
François Mitterrand en 1995, évoquant les événements qui ont précédé
le retour des otages en France.
Episode 3 : LE DEFI NUCLEAIRE (2001-2008)
Réalisé par Paul Mitchell
Le dernier épisode de la série aborde les coulisses du 11 septembre
2001, avec des révélations de Vladimir Poutine évoquant son coup de
fil à George W. Bush pour l’informer de l’assassinat du commandant
Massoud, et de ce qu’il sentait comme étant les prémices
d’événements bien plus graves : « Ils se préparent à agir... ». Ce
pressentiment rejoignait celui de certains dirigeants iraniens qui
accusaient Al Qaïda d’avoir voulu d’abord éloigner l’influent
commandant Massoud avant d’agir de manière beaucoup plus radicale
contre les Etats-Unis. En regardant la télévision le 11 septembre,
le vice-président iranien Mohsen Aminzadeh déclare au président
Mohammad Khatami sa conviction qu’il s’agit bien d’un acte
terroriste du mouvement dirigé par Ben Laden.
L’attaque du 11 septembre sera l’occasion pour l’Iran d’exprimer sa
sympathie envers les victimes des attentats américains. Par ce
geste, le président Mohammad Khatami affirme son intention de
combattre les Talibans, et par là même Al Qaïda, en collaboration
avec les Etats-Unis. Ainsi, Iraniens et Américains vont installer
ensemble les Forces de l’Alliance du Nord pour combattre les
Talibans en Afghanistan. Colin Powell décrit cette association
improbable entre "une armée du Quatrième Monde se déplaçant à cheval
ou à pied, mariée à une force aérienne du Premier Monde, et ça a
marché ! "
L’Iran avait espéré que cette coopération avec les États-Unis en
Afghanistan entraînerait le rétablissement des relations
diplomatiques entre les deux pays, interrompues depuis l’affaire des
otages à Téhéran en 1979. Mais ce fut en vain...
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Farah - la chabanou
Prochainement
sur la chaine France 3
A l’occasion du trentième anniversaire de l’exil du couple Impérial
Iranien, Frédéric Mitterrand recueille les confidences de
l’impératrice Farah Diba dans un documentaire de 75 minutes.
Il y a trente ans, en janvier 1979, la Révolution Islamique
entraînait la chute du régime du Shah d’Iran et le départ du couple
impérial.
Farah Pahlavi, dernière impératrice d’Iran, vit en exil depuis
bientôt trente ans. Malgré l’éloignement de son pays natal et les
menaces constantes qui pèsent encore sur elle et ses enfants, elle
continue à défendre la mémoire de son mari, Reza Shah et l’œuvre
accomplie à ses côtés durant leur règne.
Reconnue par les familles royales, proche de nombreux leaders
politiques à travers le monde, constamment sollicitée par les
médias, elle a su éviter tous les pièges d’une vie dorée et sans
but, pour entretenir ses amitiés dans tous les milieux et opposer
ses propres réponses aux jugements défavorables que l’on porte sur
l’histoire contemporaine de l’Iran. Sa vie fut marquée jusqu’à ce
jour d’une succession d’événements extraordinaires, à la fois
exaltants et douloureux.
Alternant documents d’archives et entretiens exclusifs, le
documentaire Farah éclaire de façon inédite le parcours hors du
commun de l’épouse du Shah. Des années de règne, en passant par la
Révolution Islamique, la disparition brutale de son époux, et enfin
l’exil, dont Farah Diba est encore frappée aujourd’hui, autant de
piliers et d’épreuves qui ont jalonné l’existence de l’Impératrice
et sur lesquels elle accepte de s’exprimer. |
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L'IRAN,
berceau de la civilisation orientale
Conférence illustrée de diapositives
proposée par l'Association Deffontaines.
Le 7 février 2009 à 15h00
L'IRAN,
berceau de la civilisation orientale
Par JJ Crampon. Sis entre l'Asie et
l'Europe méditerranéenne, l'Iran
possède un héritage archéologique et culturel tout a fait exceptionnel.
Il fut pendant plus de 3 millénaires le carrefour de civilisations
multiples, et le lieu de rencontre de peuples divers en migration.
Maison de l'Europe 219 Bis
Boulevard de la Liberté , LILLE
Entrée gratuite
Tel.
03.20.57.85.24
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Les Chants du pays de
ma mère
film iranien de Bahman GHOBADI
Cinéma " Le Méliès "
Métro Triolo, Villeneuve d’Ascq.
Soirée sur le Kurdistan
Vendredi 16 janvier 2009 à 19h30
en présence de Boudoin Koenig et Fulvia
Alberti 1h43 35 mm Couleur
VOST Français
Scénario: Bahman GHOBADI, Fariborz KAMKARI
Musique: Arsalan KOMKAR
Image: Saed NIKZAT, Shahriar ASSADI
Son: Mahmoud MOUSSAVI
Montage: Hayedeh SAFI-YARI
Avec: Shahab EBRAHIMI, Faegh MOHAMMADI, Alla-Morad RASHTIAN
Sélection Un Certain Regard
Cannes 2002 Pendant
la guerre Iran-Irak (1980-1988), un groupe de musiciens kurdes iraniens se
lance à la recherche de Hanareh, une chanteuse à la voix magique qui est
passée de l’autre côté de la frontière, au Kurdistan irakien.
Après avoir réalisé Un
temps pour l’ivresse des chevaux, Bhaman Ghobadi explore encore sa
région, le Kurdistan, en choisissant un subtil mélange de réalisme
politique, de burlesque (le trio des musiciens sur la moto) et de tragique.
Un film qui confirme la richesse du cinéma iranien et le talent indéniable
du cinéaste.
"Les Chants du pays de
ma mère"
LE MONDE
Dans les années qui
suivent la guerre Iran-Irak, alors que l'aviation irakienne bombarde
toujours la région kurde, un chanteur kurde iranien part en compagnie de ses
fils à la recherche de sa compagne. Le deuxième film de Bahman Ghobadi,
après Un temps pour l'ivresse des chevaux, caméra d'or à Cannes en 2000,
confirme le talent de ce jeune réalisateur. Film sec, dépourvu de lyrisme,
malgré une musique lancinante, Les Chants du pays de ma mère décrit, sans
jamais recourir au mélodrame, parfois avec froideur, la réalité du génocide
kurde. Servi par une mise en scène ample, le récit maintient un équilibre
entre la grande histoire et le parcours cocasse et humoristique d'un groupe
de musiciens dont l'un devine au fil de son voyage qu'il ne retrouvera sans
doute plus jamais sa compagne. Le moment où ce dernier découvre la réalité
du génocide de son peuple, entre charniers et femmes torturées, est un
modèle de retenue et d'ellipse cinématographique, d'utilisation de la
fiction pour atteindre au plus juste la réalité d'une tragédie.
Samuel Blumenfeld
UN CERTAIN
REGARD. Le cinéaste iranien déploie poésie et humour dans une chronique sur
des villages kurdes bombardés.
Il y a deux ans, Un temps pour l'ivresse des chevaux de Bahman
Ghobadi nous avait sidérés de bonheur : une autre vie du cinéma iranien
était d'un coup possible à part Kiarostami. Un revenez-y cette année, avec
les Chants du pays de ma mère, était risqué. Or, au cinéma comme dans
la vie, il semblerait que c'est toujours mieux la deuxième fois. Nous voilà
de nouveau en pays kurde, côté iranien, dans les mois qui suivent la guerre
Iran-Irak. Ce n'est pas une vue de l'esprit, c'est un bruit physique : le
son des avions supersoniques irakiens qui bombardent inlassablement les
villages frontaliers.
Sous le
ciel de cette menace permanente, la vie survit. Entre autres, pour un vieux
chanteur, Mirza, et ses deux fils musiciens, Audeh et Barat, présentement
sur une moto side-car pour retrouver la trace de Hanareh, ancienne compagne
de Mirza et chanteuse kurde célèbre. Leur enquête va traverser le pire :
villages détruits, charniers immenses, camps d'orphelins, femmes défigurées
par les bombardements chimiques. N'importe quel film aurait pu s'arrêter là,
congelé par l'horreur. La bonne nouvelle des Chants du pays de ma mère,
son énergie en flèche, c'est qu'il s'obstine, quoi qu'il lui en coûte.
Pendant
l'apocalypse, la vie continue avec son lot d'humour fou (les incessantes
scènes de ménage entre le vieux père et ses deux grands fils), de stases
poétiques (les montagnes kurdes comme dans un rêve biblique), de coups de
griffe au réputé machisme iranien (toutes les femmes sont du genre à lever
les yeux au ciel, le sourire aux lèvres, chaque fois que les grands
couillons qui leur servent de compa gnons ouvrent la bouche) et d'énergie
dansante (chanter contre les bombes). Une fatalité muée en destin.
Au
détour d'un chemin caillouteux, l'incroyable arrive et nous stupéfie : un
instituteur en train de faire la classe en plein air. Pour enseigner à ses
jeunes élèves la notion d'avion tandis que les chasseurs de l'aviation
irakienne sillonnent le ciel. On dirait de l'ironie désespérée, c'est de
l'humour libre. Et la leçon de se conclure par un lâché collectif de petits
avions en papier. Juste une image contre la guerre. Cela suffit.
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| 2008 |
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Citéphilo est un événement annuel organisé par l'association Philolille.
Cette année, du 6 au 23 novembre 2008, retrouvez plus de 90 conférences,
avec en pays invité,
téléphone : 03 20 55 66 34
|
au programme :
Mardi 11 novembre 2008
Atelier de calligraphie
persane
De 10h à 18h.
Institut Avicenne des Sciences Humaines - 4, place du Temple - Grande Salle
(RDC).
Brève histoire de la calligraphie, suivie d’ateliers successifs tout au long
de la journée de calligraphie au Kalam et au roseau...
• Amar Saidi,
professeur de calligraphie.
Vendredi 14 novembre 2008
Que nous disent les
philosophes de l’Iran ?
De 18h à 20h.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
En partenariat avec l’Institut Avicenne des Sciences Humaines dans le cadre
des Jeudis d’Avicenne.
* Christian Jambet,
professeur agrégé de philosophie en classe de lettres supérieures au lycée
Jules Ferry, enseigne la philosophie islamique à l’Institut d'Études
Iraniennes,
a notamment publié : Mort et résurrection en islam. L’au-delà selon Mullâ
Sadrâ (Albin Michel) ; Le caché et l’apparent (L’Herne).
* Présentation : Sima Orsini-Sadjed,
professeur de persan classique et moderne à l’Université d’Oxford.
La philosophie en Iran vit encore aujourd'hui, comme en ses origines, avec
une intensité inconnue des autres pays de l'Orient et de l'Occident
musulmans. En Iran, depuis le mazdéisme jusqu'à l'Islam, la philosophie
modifie les religions, en intègre les leçons dans une vision métaphysique
des mondes qui est aussi une sagesse. Cette "sagesse éternelle", comme
l'appellent les iraniens, s'exprime sous les formes variables de traités,
commentaires, vastes systèmes, poème, art pictural, conseils moraux, de la
connaissance mystique, ou de la connaissance ordinaire des choses de la vie.
L’Iran nous adresse son héritage Grec et son recueil de messages
prophétiques sous la forme de spiritualités philosophiques multiples, où le
souci de l'Unité divine est tempéré par le souci de la personne humaine et
de sa dignité intemporelle.
Atelier de calligraphie persane
De 18h30 à 20h30.
Attacafa – 24, rue de la Barre – Lille – M° Rihour – Sur inscription
au 03 20 55 66 34.
En partenariat avec Attacafa – 22ème Festival Pluriel.
* Shiva Nazemzadeh,
professeur de calligraphie en Iran.
Afin d'approfondir l'immersion dans la culture persane, Citéphilo et
Attacafa mettent sur pied une série d'ateliers vous offrant la possibilité
de vous initier à la calligraphie iranienne. Invitée pour l'occasion,
l'artiste Shiva Nazemzadeh, animera ces ateliers et vous transmettra de quoi
mieux appréhender cet art ancestral. Il est prudent de réserver.
Comment peut-on philosopher en Iran
aujourd’hui ?
De 20h à 22h.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
* Dariush Shayegan,
philosophe, essayiste,
a notamment publié en français : La lumière vient de l’occident : le
réenchantement du monde et la pensée nomade (éd. De l’Aube) ; Le regard
mutilé (éd. De l’Aube) ; Qu’est-ce qu’une révolution religieuse ? (Les
Presses d’aujourd’hui).
* Présentation : Christian Jambet,
professeur agrégé de philosophie en lettres supérieures au lycée Jules
Ferry, enseigne la philosophie islamique à l’Institut d'Études Iraniennes.
« Comment situer notre condition historique, puisque nous nous trouvons pour
ainsi dire dans l’entre-deux, c’est-à-dire dans un monde qui n’est ni
vraiment traditionnel au sens strict du terme ni même moderne. Ce monde est
et n’est pas à la fois. Il se trouve si l’on veut entre le plus jamais et le
pas encore, entre ce qui ne sera plus jamais comme avant et ce qui n’a pas
encore atteint son terme. Et c’est dans cette béance que nous nous trouvons.
Quels sont les effets négatifs ou disons plutôt «pathologiques » de cet état
de choses ? Cette situation de l’entre-deux a-t-elle des avantages qui
feraient de nous des gens jouissant d’une sensibilité plus riche et plus
ample ? Cet état de choses se confine-t-il uniquement à un espace culturel
particulier ou est-il devenu, en raison de la mondialisation, de la
virtualisation et de la civilisation planétaire, le lot de tout un chacun,
tout en ayant des traits spécifiques ».
Samedi 15 novembre 2008
Corbin et Massignon,
découvreurs de la philosophie islamique
De 11h à 13h.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
En partenariat avec l’Institut Avicenne des Sciences Humaines dans le cadre
des Jeudis d’Avicenne.
* Souâd Ayada,
professeur de philosophie,
a notamment publié : Avicenne (Ellipses)
* Christian Jambet,
professeur agrégé de philosophie en classe de lettres supérieures au lycée
Jules Ferry, enseigne la philosophie islamique à l’Institut d'Études
Iraniennes.
Louis Massignon et Henry Corbin nous ont offert deux voies
d’accès au monde iranien. Louis Massignon le fit en montrant l’apport
iranien à l’islam arabe, Henry Corbin en mettant en valeur la continuité de
la culture iranienne et en révélant la spécificité de l’islam shî’ite. Tous
deux ont aidé à connaître la philosophie mystique de l’Iran dans sa longue
durée.
Qu’est-ce que la
philosophie islamique ?
De 15h à 16h30.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
En partenariat avec l’Institut Avicenne des Sciences Humaines dans le cadre
des Jeudis d’Avicenne.
* Mehdi Mohaghegh,
spécialiste de la littérature persane, de la philosophie et des études
islamiques.
* Présentation : Sima Orsini-Sadjed,
professeur de persan classique et moderne à l’Université d’Oxford.
Qu’est-ce que la philosophie islamique ? Comment, après avoir été dans un
premier temps rejetée par les religieux shî’ites, la philosophie – entrée
dans le monde de l’islam par le biais du grec – parvint-elle à concilier en
un système cohérent la pensée mystique, les positions théologiques et la
raison ? Retour sur quelques concepts clés tels que l’existence et
l’essence, le bien et le mal, l’essence et les attributs de Dieu, le libre
arbitre et la prédestination.
Atelier de calligraphie persane
De 15h30 à 17h30.
Attacafa – 24, rue de la Barre – Lille – M° Rihour.
Sur inscription au 03 20 55 66 34.
En partenariat avec Attacafa – 22ème Festival Pluriel.
* Shiva Nazemzadeh,
professeur de calligraphie en Iran.
Afin d'approfondir l'immersion dans la culture persane, Citéphilo et
Attacafa mettent sur pied une série d'ateliers vous offrant la possibilité
de vous initier à la calligraphie iranienne. Invitée pour l'occasion,
l'artiste Shiva Nazemzadeh, animera ces ateliers et vous transmettra de quoi
mieux appréhender cet art ancestral. Il est prudent de réserver.
L’Iran ancien, une vieille connaissance
De 16h30 à 18h.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
* Clarisse Herrenschmidt,
anthropologue, philologue, chercheuse au CNRS, spécialiste de l’Iran perse
et élamite,
a notamment publié : Les trois écritures . Langue, nombre et code
(Gallimard).
L’Europe et l’Iran n’ont ni frontière matérielle ni frontière impalpable
commune. L’Europe et l’Iran s’accompagnent, vieux témoins réciproques,
charmés et chamailleurs. C’est au cours de la longue histoire de l’Iran
ancien, commencée vers –3000 quand les Élamites se mettent à écrire et qui
dure jusqu’à la conquête musulmane – ce qui constitue une coupure assez
arbitraire, que tout se joua, avec des acteurs admirables : Zarathoustra,
Darius, Xerxès, Eschyle, Hérodote, Démocrite, Esther, Assuérus. Toujours un
petit peu vivants, en nous…
Arabe / Persan : langues en conflit ?
Les enjeux de la traduction
en Iran : le cas du Coran
De 18h à 20h.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
En partenariat avec l’Institut Avicenne des Sciences Humaines dans le cadre
des Jeudis d’Avicenne.
* Azartash Azarnoush,
linguiste, professeur de littérature arabe à l’Université de Téhéran, ancien
directeur du département d’études arabes de la Grande Encyclopédie de
l’Islam,
a notamment publié en anglais : A guide to the influence of Persian language
in Arabic language ; A history of Arabic language and culture ; A
contemporary dictionary of Arabic to Persian.
* Barbara Cassin,
philologue et philosophe, directrice de recherches au CNRS,
a notamment publié : Avec le plus petit et le plus inapparent des corps
(Fayard), Vocabulaire Européen des Philosophies, dictionnaire des
intraduisibles (Seuil-Le Robert).
Les Iraniens ont attendu trois siècles avant de traduire le Coran. Pourquoi
attendre si longtemps ; qui les en empêchait et pour quelles raisons ?
Depuis la première traduction jusqu’au siècle dernier nous identifions plus
de 850 traductions. Quelle est l’évolution de ces traductions ? La langue
particulière de ces traductions mot à mot a fortement influencé la prose
persane; en quoi les conséquences de cette influence persistent-elles encore
dans la vie culturelle des iraniens ?
Le Divân, de Hâfez de Chiraz (Verdier)
De 20h à 21h30.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
En présence du traducteur :
* Charles-Henri de Fouchécour,
spécialiste de la langue et de la littérature persane classique, professeur
émérite de l’Université Paris III – Sorbonne Nouvelle,
a notamment traduit : Le Divân - Oeuvre lyrique d’un spirituel en Perse au
XIVe siècle de Hâfez de Chiraz (Verdier) ; a participé à la revue Iran, un
monde en mouvement (Collectif) (éd. Magellan & Cie ).
* Barbara Cassin,
philologue et philosophe, directrice de recherches au CNRS.
Hâfez est le poète majeur de la poésie lyrique persane. Il vécut au
quatorzième siècle à Chiraz. Les mots de ses poèmes sont ceux des spirituels
de son temps, aussi ceux des fêtes à la cour, ceux des soldats ou de la
chasse, du commerce, du jardin ou de la rue. Mais ses poèmes sont surtout
habités du désir de voir le visage de l’Aimé, désir que ne font qu’aviver
toutes les réalités du monde. Et si Hâfez jouit en Iran d’un prestige
populaire qui ne s’est jamais démenti, c’est peut-être parce que l’amour a
dans son œuvre une place si éminente qu’il semble effacer les frontières
entre l’humain et le divin.
Dimanche 16 novembre 2008
Atelier de calligraphie
persane
De 11h à 13h.
Attacafa – 24, rue de la Barre – Lille – M° Rihour.
Sur inscription au 03 20 55 66 34.
En partenariat avec Attacafa – 22ème Festival Pluriel.
* Shiva Nazemzadeh,
professeur de calligraphie en Iran.
Afin d'approfondir l'immersion dans la culture persane, Citéphilo et
Attacafa mettent sur pied une série d'ateliers vous offrant la possibilité
de vous initier à la calligraphie iranienne. Invitée pour l'occasion,
l'artiste Shiva Nazemzadeh, animera ces ateliers et vous transmettra de quoi
mieux appréhender cet art ancestral. Il est prudent de réserver.
Les miniatures dans la pensée iranienne
Le monde imaginal
transfiguré dans l'art pictural persan :
Illustration de la figure
du Zâl dans le Livre des Rois de Ferdowsî
De 14h à 15h30.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
* Reza Feiz,
chercheur en philosophie et gnose islamique, ancien représentant de l’Iran
auprès de l’UNESCO.
* Présentation : Gilbert Glasman, Citéphilo.
A sa naissance, Zâl, père du futur Rostam, héros mythique de la Perse
antique, est blanc de cheveux, et son corps couvert d'un duvet blanc. Son
père, Sâm, persuadé qu'il porte la marque des démons, décide de l'abandonner
au pied d'une montagne. Reccueilli par un être céleste, le fabuleux oiseau
Simorgh prit Zâl sous son aile, l'éleva dans son nid au sommet de l'Alborz
mythique.
Sur fond d'une illustration picturale racontant cette scène extraite du
recueil de la mythologie persane, le Shâhnâmeh (Livre des Rois), Reza Feiz
se propose d'en esquisser une interprétation au sens symbolique et
herméneutique de l'image
La situation de la musique
iranienne en Iran et dans le monde
De 15h30 à 17h30.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
Débat ponctué d’interventions musicales de Dariush Tala’i.
* Dariush Tala’i,
musicologue, musicien, grand maître de la musique savante persane, maître
des luths târ et setâr, a enseigné à l’Université de Téhéran, à l’Université
de Seattle et à la Sorbonne,
a notamment enregistré : Grands interprètes méditerranéens (2005) ;
Calligraphies vocales. L’art du chant persan (2004),
et a publié : A new Approach to the Theory of Persian Art Music: The Radif
and the Modal System (in Garland Encyclopaedia of World Music).
* Présentation : Ameneh Youssefzadeh,
docteur en ethnomusicologie, chercheur associée au CNRS « Monde iranien et
indien ».
Comment faire comprendre à un public occidental pour qui la musique est un
fait accepté, respecté, faisant partie de la vie, et présent dans toutes les
activités et cérémonies sacrées et profanes de la société, la situation
d’une autre musique dans une autre culture, où le statut de la musique est
considéré comme étant un « objet malsain de plaisir et de désir » (à côté
d’autres péchés comme le vin et la femme). Dans cette société, la musique,
bien qu’existante et présente partout, doit cependant garder toujours un
profil bas et devenir en somme presque clandestine. Quelles sont les
conséquences de cette situation à l’intérieur et l’extérieur de l’Iran ?
Quelles ont été les influences de la musique occidentale et des nouvelles
techniques de diffusion et de reproduction ? Comment expliquer le regain
d’intérêt pour la musique traditionnelle iranienne ?
Un regard
socio-anthropologique sur la société iranienne contemporaine
De 17h30 à 19h15.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
* Nasser Fakouhi,
docteur en anthropologie, professeur associé à l’Université de Téhéran.
* Présentation : Clarisse Herrenschmidt,
membre de l’Institut d’anthropologie sociale du Collège de France,
spécialiste des langues, religions et civilisations de l’Iran avant l’islam,
et de la Grèce ancienne.
Depuis au moins trente ans, la société iranienne vit une double expérience :
celle de son existence réelle et celle de sa présence médiatique
internationale. Qu’est-ce alors que cette société si diversifiée entre
l’image de la multitude des contraintes idéologiques qui la saisissent, et
les innombrables initiatives et activités vitales de ses acteurs, en Iran
comme hors d’Iran ? Que dire de ses représentations artistiques, qui nous
offrent les images sublimées d’un Iran non reconnaissable, hors de ce rêve
éveillé et idéalisé, par la plupart des iraniens ? Quelle
socio-anthropologie peut aller au-delà des stéréotypes produits sur un Iran
à la marge du monde et, en même temps, au cœur du processus de
mondialisation ?
Lundi 17 novembre 2008
Iran et cinéma
Projection de Tapis Volant
De 17h à 18h.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République – Lille.
Projection de Tapis Volant , film de Joao Mario Grilo (Tapete Volante, 53
minutes, Portugal, 2008).
Le cinéaste portugais Joao Mario Grilo a réalisé en Iran, en 2008, ce film
documentaire sur l’art du tapis persan, convaincu de ce qui lie l’art du
tapis avec celui, cinématographique, du montage. Joao Mario Grilo, cinéaste
depuis Maria (1979), auteur de nombreux longs-métrages de fiction comme de
films documentaires, est professeur de cinéma à l’Université Nouvelle de
Lisbonne
Projection de La Vache
De 18h15 à 20h.
Palais des Beaux-Arts - grand auditorium - Place de la République –
Lille.
Projection de La Vache, film de Dariush Mehrjui (1h45, noir&blanc, Iran,
1969)
Un village d’Iran. Hassan s’occupe de sa vache, qui est la seule du village,
avec une attention passionnée. Un jour qu’il revient de la ville, on lui
fait croire que sa vache s’est enfuie. Ce n’est que plus tard qu’Hassan
apprendra que la vache est morte, tuée par jalousie...
Sous l’apparence d’un conte, à la grande force onirique, un film important
dans l’affirmation d’un cinéma soucieux de dire les conditions réelles de la
vie populaire, contre les prescriptions du régime du Shah. Prix de la
critique internationale, Venise, 1971.
A l’issue de la projection...
De 20h à 21h.
* Mamad Haghighat (sr),
cinéaste, scénariste, historien du cinéma iranien, auteur de Histoire du
cinéma iranien, 1900-1999 (Centre Georges Pompidou).
* Présentation : Jacques Lemière,
professeur agrégé de sciences sociales à l’Université de Lille 1, chercheur
au CLERSE-CNRS, Centre Lillois de Recherches Sociologiques et Economiques.
Dimanche 23 novembre 2008
Iran et cinéma
En partenariat avec le cinéma Le Méliès et les Journées cinématographiques
de sociologie et anthropologie (cycle cinéma et pays, Université de Lille
1).
Les débats seront animés par :
* Jacques Lemière,
professeur agrégé de sciences sociales à l’Université de Lille 1, chercheur
au CLERSE-CNRS, Centre Lillois de Recherches Sociologiques et Economiques.
Le cinéma iranien comme « situation »
De 11h15 à 13h.
Cinéma Le Méliès, Métro Triolo, Villeneuve d’Ascq.
Entrée libre pour cette conference.
* Agnès Devictor,
maître de conférences à l’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse,
a notamment publié : Politique du cinéma iranien, de l’âyatollâh Khomeyni au
président Khâtami (CNRS Editions).
* Dariush Mehrjui (sr),
cinéaste iranien,
auteur notamment de La Vache (1969), Le Facteur (1972), Le Cycle (1977), La
Cour Arrière (1980), Les Locataires (1987), Sara (1993), Leila (1996) (sr).
On entend par « situation » les paradoxes du cinéma iranien, dans ses
contextes politique, social, économique. Un cinéma très créatif et
formellement inventif, dans le cadre d'un Etat qui a noué avec le cinéma une
relation très complexe et d'une société très intéressée, sous ses
différentes manifestations, par le cinéma : une situation singulière, et
propre à l'Iran, de la relation entre cinéma et pays.
Philosophie et poésie dans l’œuvre de
Kiarostami
De 14h30 à 20h30.
Cinéma Le Méliès, Métro Triolo, Villeneuve d’Ascq.
Tarif pour un film : 3,70 € – tarif pour les deux films : 5 €
La cinématographie d’Abbas Kiarostami noue un lien particulier à la «
sagesse iranienne », qu’elle se donne dans la philosophie ou dans la poésie.
L’enjeu de ces deux projections/analyses de deux films majeurs de Kiarostami
est d’aider à déplacer le regard du spectateur, de la seule identification
du cinéaste sous le critère de la modernité cinématographique vers la
reconnaissance de l’intériorité de son œuvre à ce qui caractérise, au plus
profond, la philosophie et la poésie de son pays.
Projection de Close Up, film d’Abbas
Kiarostami
De 14h30 à 16h.
Cinéma Le Méliès, Métro Triolo, Villeneuve d’Ascq.
Tarif pour un film : 3,70 € – tarif pour les deux films : 5 €
(Iran, 1h36, couleur, 1990)
Histoire vraie : un homme pauvre et sans emploi, Ali Sabzian, se fait passer
pour le célèbre cinéaste iranien Makhmalbaf, et abuse de la confiance d’une
famille bourgeoise de Téhéran à qui il promet de tourner un film chez eux et
avec eux. Cet homme est arrêté, Kiarostami filme son procès pour
escroquerie, et après que l’imposteur ait purgé sa peine, reconstitue, avec
toutes les protagonistes de l’histoire, ce jeu de rôles, de dupes et de
rêves avec le cinéma.
Analyse de Close Up
De 16h15 à 17h30.
Cinéma Le Méliès, Métro Triolo, Villeneuve d’Ascq.
Tarif pour un film : 3,70 € – tarif pour les deux films : 5 €
* Christian Jambet,
philosophe,
a notamment publié : Mort et résurrection en Islam - l’au-delà selon Mullâ
Sadrâ (Albin Michel), Qu’est que le shî’isme ? (Fayard), La grande
résurrection d’Alamût – Les formes de la liberté dans le shî’isme ismaëlien
(Verdier), La logique des orientaux. Henry Corbin et la science des formes
(Le Seuil).
Projection de Où est la maison de mon ami ?
De 17h45 à 19h15.
Cinéma Le Méliès, Métro Triolo, Villeneuve d’Ascq.
Tarif pour un film : 3,70 € – tarif pour les deux films : 5 €
Film d’Abbas Kiarostami (Iran, 1h25, couleur, 1987).
De retour chez lui, à Koker, après l’école, Ahmad se rend compte qu’il a
emporté par mégarde le cahier de son ami, Mohammad. Craignant que ce dernier
ne soit renvoyé, il décide de se rendre à pied jusqu’à Pochté, où habite
Mohammad. Mais la route est longue et difficile , et l’adresse imprécise …
Le film qui est à l’origine de la reconnaissance en France de l’art
cinématographique de Kiarostami
Analyse de Où est la maison de mon ami ?
De 19h15 à 20h30.
Cinéma Le Méliès, Métro Triolo, Villeneuve d’Ascq.
Tarif pour un film : 3,70 € – tarif pour les deux films : 5 €
* Youssef Ishaghpour,
théoricien et critique,
anotamment publié : Le réel, face et pile. Le cinéma d’Abbas Kiarostami
(Farrago), Archéologie du cinéma et mémoire du siècle, dialogues avec
Jean-Luc Godard (Farrago), Le cinéma (Flammarion), La Miniature persane. Les
couleurs de la lumière : le miroir et le jardin (Farrago), Tombeau de Sadegh
Hedayat (Farrago).
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un film Franco iranien du réalisateur iranien Hana Makhmalbaf, est à découvrir au
cinéma Le Méliès
Mercredi 14/05/2008 18h30
vendredi 16/05/2008 20h30
dimanche 19/05/2008 16h30
lundi 19/05/2008 16h30
Renseignement :
Association Nima 03.20.38.45.83
Le Méliès est en
travaux, le film est à l'affiche à
la Macc - 9, avenue Paul Langevin 59650 Villeneuve-d'ascq
Métro/accès : cité
scientifique
Téléphone : 03 20 61 96 90
Réalisé par
Hana MAKHMALBAF
Film Franco-iranien
durée : 1h 21min
Année de production : 2007
Titre original : Buddha Collapsed Out of Shame
Sous les anciennes statues géantes de Bouddhas détruites par les
Talibans, des milliers de familles tentent de survivre dans des grottes.
Baktay, une petite fille de six ans, se met en tête d'aller à l'école,
quitte à braver tous les dangers.
Sous l'apparence d'une grande simplicité narrative, la plus jeune des filles
Makhmalbaf dénonce la violence engendrée par les multiples guerres qu’a
vécues l’Afghanistan, envahi tour à tour par les communistes russes puis les
talibans islamistes. À travers des symboles forts, comme la destruction des
statues de Bouddha, ou la présence du cahier et du rouge à lèvres, elle pose
la question du devenir des enfants imprégnés de violence dès leur plus jeune
âge et évoque la responsabilité des adultes. Un film dense
et lucide sur l’Afghanistan d’aujourd’hui, où les jeunes, témoins de la
guerre et de ses destructions, recréent le monde des adultes avec un
réalisme emprunt de violence et de cruauté.
Les fiches de français proposées dans ce dossier permettront donc de
s'interroger sur cette figure bivalente de l'enfant, entre éveil et cruauté.
Elles amèneront également les élèves à décoder la portée des objets
symboliques présents dans le film.
Le Cahier (Buddha collapsed out of shame) a reçu le
Grand Prix du Festival de San Sebastian et sort en salle le 20 février 2008.
**********************************
D'une simplicité surprenante, à la croisée du conte pour enfants et du
documentaire, le premier film d'une débutante de 19 ans est d'une beauté
renversante. L'héroiïne, Baktay, obstinée comme tous les petits et
resistante comme personne, est notre guide dans un monde saccagé. Ses yeux
sont les nôtres, sa force et sa douleur nous renversent.
Film très pur, ce Cahier dérange car il met à nu les ravages d'un conflit
qui ne cesse pas. Dans sa maîtrise de la caméra, Hana Makhmalbaf renoue
parfois avec le cinéma soviétique des années héroïques, ode aux paysans,
eaux claires et férocité des hommes. Tourné dans le site de la ville
troglodytique de Bamiyan, là où les talibans firent sauter les célèbres et
vénérables Bouddhas, le film vaut aussi pour ce qu'il montre d'un mays
magnifique et dévasté.
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L’Association Nima
vous invite,
Rencontre, témoignage, débat avec
Bernard Ollivier
Journaliste, auteur de Longue marche,
édition
Phébus, (voyage sur la Route de la soie).
Voyageur passionné, passionnant, il est fondateur de
l’association Seuil qui a pour mission d’aider à la réinsertion des jeunes
délinquants
par de longues marches.
Samedi 26 avril 2008 à 17 h
Salle Pierre Herman, Rue Victor Hugo
(Métro Hôtel de ville , Wasquehal)
Entrée libre
Renseignement : 03.20.38.45.83
Longue marche
Bernard
Ollivier
Tome 1 – édition Phébus
Au printemps de 1999, Bernard
Ollivier –
62 ans sonné- est parti d’Istanbul, sac à dos, avec la ferme intention de
gagner, à pied, Xi’an en Chine. Douze mille km au long de la légendaire
Route de la Soie, soit une promenade de 4 ans, …
Du printemps à l’automne 2000, il a franchi les dernières
passes du Kurdistan, traversé une large part de l’Iran avant de se retrouver
en juillet face au terrible Karkoum, un désert impossible à traverser l’été
…
« Passionnant. Mieux qu’un récit de voyage, un itinéraire à
la rencontre de l’autre. »
L’événement du jeudi
« Bernard Ollivier est un voyageur. Il ne se prend pas
pour un écrivain. Le résultat est qu’il écrit souvent mieux que les
écrivains voyageurs patentés… Il voyage comme le font tant de héros de
Conrad pour se découvrir. »
Le monde
Bibliographie
LONGUE MARCHE T.1 ;
TRAVERSER L'ANATOLIE
LONGUE MARCHE T.2 ; VERS SAMARCANDE
LONGUE MARCHE T.3 ; LE VENT DES STEPPES
L'ALLUMETTE ET LA BOMBE. JEUNES, L'HORREUR CARCERALE
LA VIE COMMENCE A 60 ANS
NOUVELLES D'EN BAS
CARNETS D'UNE LONGUE MARCHE : 12000 KM LE LONG DE LA ROUTE
DE LA SOIE
Edition Phébus |
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La fête du feu
un film du réalisateur iranien Asghar Farhadi, est à découvrir au
cinéma Le Méliès
Avec Hedieh Tehrani, Taraneh Alidoosti, Hamid Farokhnezhad…
Durée : 1h44 VOSF
mercredi 13/02/2008 20h15
vendredi 15/02/2008 18h15
samedi 16/02/2008 19h00
dimanche 17/02/2008 21h15
lundi 18/02/2005
15h15
mardi 19/02/2008 16h00
* Prix Spécial du jury pour le Meilleur Scénario en 2006 au Festival
des 3 Continents de Nantes.
* THE GOLD HUGO, Prix du Meilleur Film au Festival International de Chicago
critiques :
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Un tarif préférentiel de 4.50 €
sur présentation de ce coupon vous est proposé
Renseignement :
Association Nima 03.20.38.45.83 ou sur le site Nima
http://nima.lille.free.fr
Le Méliès est en
travaux, le film est à l'affiche à
la Macc - 9, avenue Paul Langevin 59650 Villeneuve-d'ascq
Métro/accès : cité
scientifique
Téléphone : 03 20 61 96 90
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2007 |
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PERSEPOLIS (VF)
un Film
de :
Marjane Satrapi
avec :
Catherine Deneuve,Danielle Darrieux,Chiara Mastroianni,
Durée: 01h35
au Cinéma Méliès
vendredi 7 sept. 21 h 00
samedi 8 sept. 19 h 15
Dimanche 9 sept 19 h 30
Lundi 10 sept. 19 h 00
Mardi 11 Sept. 12 h 30
Et aussi au cinéma Kino-Ciné
université de Lille 3 pont de bois Villeneuve d'ascq
Mercredi 19 sept. 20h30
Jeudi 20 sept. 12h00 et 17h00
vedredi 21 sept. 15h00 et 20h30
Semedi 22 sept. 17h30
Lundi 24 sept 18h00 et 20h30
SYNOPSIS
L'histoire d'une jeune fille Iranienne, Marjane, pleine de rêves. A huit
ans, elle est encore choyée par ses parents et grands-parents lorsque sa
vie bascule suite à l'instauration de la République islamique. C'est le
début du temps des "commissaires de la révolution", qui contrôlent tout et
notamment les tenues et les comportements.
Persépolis : la critique
par Jacky BORNET
Marjane Satrapi y adapte les quatre volumes de sa bande dessinée, grâce
à sa collaboration avec Vincent Paronnaud, qui l’a motivé dans ce sens.
Le résultat est un bijou, qui lui vaut de se retrouver à un tel niveau,
ce qui ne s’était pas produit depuis
La Planète
sauvage de René Laloux et Roland Topor en 1973 (premier film
d’animation en Compétition du Festival).
Le pari n’était pas gagné d’avance, même si la bande dessinée(éditions
L’Association) a remporté un considérable succès. Les auteurs s’en sont
en effet tenus à faire usage du dessin et de l’animation traditionnelle,
laissant de côté la technologie de la 3D, faisant usage, de plus, du
noir et blanc, ponctué de quelques touches de couleur.
Le résultat est à la hauteur de cette épuration déduite des dessins de
Satrapi qui évoquent le croisement étonnant entre un Jean Eiffel et une
Chantal Montellier. Avec son comparse, Vincent Paronnaud, elle valse
avec une poésie doublée d’un message existentiel et politique rarement
atteint dans ce genre de production.
Très autobiographique, jamais une telle démarche n’a été usitée dans un
film d’animation. Le film gagne d’autant plus en universalité dans son
récit qui retrace la vie d’une jeune iranienne de l’âge de 8 ans, à
l’âge adulte. On pourrait y voir un égocentrisme excentrique. Pas du
tout. Le parcours de Marjane Satrapui est tellement atypique, depuis ses
origines familiales – essentielles -, jusqu’à son arrivée à Paris qui
clôt le film, que ce particularisme, qui vaut réellement le détour,
touche tout un chacun, dans l’exposition d’une initiation au monde.
Le plus fort est que cette initiation expose en toile de fond l’histoire
de l’Iran depuis la révolution de 1979, en en exposant toutes les
données historiques, complexes, qui aboutit à sa récupération par les
fondamentalistes islamiques. Marjane Satrapi trouve ainsi un équilibre
parfait entre l’exposition d’un destin individuel, avec celui d’un pays,
sans jamais se départir d’un propos où tout le monde se retrouvera.
Pas question d’exotisme ici, mais d’un très beau projet artistique,
sincère, voire subversif, bourré d’émotion auquel la technique de
l’animation apporte une dimension autre, que n’aurait pas fourni une
adaptation avec des acteurs, ce qui a été envisagé un temps par les
Américains avec Jennifer Lopez et Brad Pitt. Grand bien soit-il !
Soulignons enfin, le magnifique travail de Chiara Mastroianni, Catherine
Deneuve, Danielle Darieux, Simon Abkarian et Gabrielle Lopez, qui
prêtent leur voix aux personnages. Persépolis démontre, s’il le
fallait, combien le film d’animation est devenu un cinéma à part
entière, plus seulement cantonné au jeune public, avec un art qui
démontre la pointe de la création française dans ce domaine, en
sublimant la technique traditionnelle.
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festival des mille et une
14ème édition. Au programme : débats, danses, contes,
concerts, village associatif et artisanat...
à
villeneuve d'ascq
Plaine du Campus
Cité Scientifique (Métro 4 cantons)
59650 Villeneuve d'Ascq
les 29
et 30 juin et 1er juillet 2007
de 17
h à minuit
à la
rencontre des cultures des quatre coins du monde.
l'Iran y
sera présent via " Nima " :
expositions , démonstrations de calligraphie, dessin miniature, tissage de
tapis, etc..
pour plus de
renseignement ===>
http://www.1001festival.com
Tarif plein 5€, tarif réduit
3€, pass 3 jours 9€
gratuit pour les -6 ans |
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Chers amis,
Selon une
tradition vieille de plusieurs millénaires, les iraniens célèbrent leur
nouvel an Nowrouz
le 21 mars de chaque année avec l’arrivée du printemps.
Dans un but de rapprochement culturel,
L'Association Nima vous invite à
partager avec la communauté iranienne
La
Fête de Nowrouz 1386
Dans une
Soirée dansante
L'apéritif suivi d'un repas jusqu'à 3h du matin
Samedi
24 Mars dès 19h30
à
L’Hotel
Mercure Lille –Aéroport
110,
rue Jean Jaurès 59810 Lesquin
Tél : 03 20 87 46 10
www.mercure.com
Nous vous prions
de bien vouloir réserver vos places avant le 15 Mars en nous retournant le
bulletin-réponse,
ci-joint, accompagné de votre règlement.
Vous pouvez
également déposer votre bulletin lors du marché de Nowrouz qui
aura lieu le
dimanche 18 mars.
" .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . .
nom et prénom :
Adresse :
Tél :
Email :
Adultes :
. . . . . . . pers. x 32 € ( dîner compris ) =
............. €
enfants ( 4 à 10
ans ) : . . . . . . . pers. x 16 € ( dîner compris ) =
.............. €
Total = ............. €
Ci-joint chèque
bancaire de .............. € à l’ordre de l’Association Nima.
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Chers amis,
Dans le
cadre de ses activités culturelles et artistiques, Nima vous invite à son
9éme marché
du nouvel an iranien BAZAR-E-NOWROUZI .
Le marché de
Nowrouz est l’occasion de découvrir ou de redécouvrir les spécialités
iraniennes et
de rencontrer la communauté iranienne du Nord.
A cette
occasion les participants présentent des stands : exposition, produits
artisanaux,
spécialités
culinaires , etc.
Ainsi, le
marché de Nowrouz inaugure la période de la fête du nouvel an iranien le 21
Mars,
qui dure près
de trois semaines.
BAZAR-E-NOWROUZI
Dimanche 18 Mars 2007
de 15h30 à19h
Salle de cantine
scolaire Ecole Tourgot
Rue Tourgot ,
Wasquehal
Entrée Libre
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MERCREDI 14
Février 2007
à 18 h
OPÉRA DE
LILLE
CONCERTS
 LES
MUSIQUES DU MONDE
LÉGENDES DU KHORASSÂN (IRAN)
Dôtar, narration
et chant.
Ancien carrefour de la Route de la soie, le Khorassân
est une province au nord-est
de l’Iran où se rencontrent les cultures
persanes, turkmènes, turques et kurdes.
En partenariat avec ATTACAFA
Les Concerts du Mercredi à 18 h
consacrés aux musiques du monde
abordent les
grandes traditions
artistiques orientales,
italiennes, persanes, iraniennes, indiennes ou encore andalouses.
Ces changements d’horizons sont
toujours assurés par de remarquables interprètes qui font
tous références dans leurs
domaines vocaux ou instrumentaux. Souvent, leurs approches passionnées
n’hésitent pas à faire se
rencontrer tradition et modernité.
PLEIN TARIF : 8
E
TARIF RÉDUIT : 5 E
Pour les abonnés
“Places aux Jeunes !”, “6 spectacles
et +”
et pour les
enfants de moins de 12 ans
(sur présentation
d’un justificatif)
Information / Billetterie
2, rue des Bons-Enfants / BP 133 / F-59001 Lille cedex
Aux guichets de l’Opéra
Entrée rue Léon Trulin (Lille) Les guichets sont ouverts du mardi au
samedi de 12h à 19h
Par téléphone 0820
48 9000
Sur le site Internet de l’Opéra de
Lille
www.opera-lille.fr
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L’association Nima et Cinéma le Méliès
ont le plaisir de vous proposer
HORS JEU
Un film de Jafar Panahi
Iran, 2006 - 88mn
Ours d’Argent
Festival de Berlin 2006
Avec Sima Mobarak Shahi,
Safar Samandar, Shayesteh Irani
Vendredi 5 Janvier 2007 21h
Samedi 6 Janvier 2007 16h15
Dimanche 7 Janvier 2007 18h15
Lundi
8 Janvier 2007 16h15
Mardi
9 Janvier 2007 20h30
Jafar Panahi a trouvé dans « Offside » une joyeuse
astuce : le foot en toile de fond pour établir les règles d'un nouveau jeu
où des iraniennes luttent pour l'égalité des droits.
Tableaux de la discrimination féminine ou sociale en
Iran, les derniers films de Jafar Panahi ne ménagent pas leurs critiques. Le
Cercle suivait les destins croisés de quatre fugitives coupables d'abord
d'être femmes. Sang et or, lui, creusait le fossé économique entre les hauts
et les bas de Téhéran. Ces oeuvres, plus proches d'un cinéma social à la Ken
Loach que des envolées lyriques d'un Kiarostami ou d'un Makhmalbaf,
arrachaient leurs images à l'urgence de l'instant, empoignaient la réalité
dans la semi-clandestinité. Semblable dans sa forme et sa démarche, le
nouveau-né de Jafar Panahi, Offside (Hors-jeu), épingle lui aussi la
condition des femmes et ses fondements sociaux. Mais cette fois, le
réalisateur change radicalement de ton. Au lieu de livrer la réalité dans
toute sa cruauté, il la détourne avec une joyeuse ingéniosité. Ou plutôt, il
la décentre par un glissement dans le hors champ (de l'action et non du
cadre), de fait dans le hors-jeu. Le hors-jeu du match de foot, le hors-jeu
des femmes bannies de la vie publique, le hors-jeu d'une discrimination
finalement aplanie par la nécessité. Cette astuce ne l'a pas soustrait à la
censure, mais lui a valu une nouvelle consécration en Occident - le Grand
prix du Jury au dernier festival de Berlin.
En Iran, les femmes ne sont pas admises dans les stades
de football. Comment faire quand on est une jeune fille passionnée par ce
sport ? On se déguise en garçon. Et on se fait arrêter. Mais on décide de
mettre tous les moyens en oeuvre pour assister coûte que coûte au jeu.
Hors-jeu est une comédie coup de poing, entre rire et larmes, par le
réalisateur du Cercle.
CASQUETTE ET CLOPE AU BEC
Tout commence dans un bus secoué par les cris d'une bande
de supporters survoltés. Chacun y va de son commentaire, de son pronostic.
Pour sûr, l'équipe d'Iran doit l'emporter face à Bahrein et se qualifier
pour la Coupe du monde. Au milieu du tumulte, une voix se tait. Et pour
cause : casquette à rabats et chemise de bûcheron ne parviennent pas à
dissimuler la finesse de la silhouette. Une jeune femme a osé se glisser
dans la virile mêlée... Pire, elle va tenter de braver l'ultime interdit,
franchir les portes du stade pour assister, elle aussi, à ce fameux match.
Mais le contrôle est sévère et le subterfuge vite démasqué. La
« traîtresse » n'accédera jamais aux gradins. Elle ira rejoindre les autres
malheureuses condamnées à rester dans les coulisses sous la surveillance
d'une poignée de soldats. Là, l'aventure devient croustillante. Les
téméraires, cheveux courts et clope au bec, ne sont pas seulement des
inconditionnelles du ballon rond. Elles représentent aussi la haute
dissidence en pays islamique. Entre deux buts rapportés par un commentateur
improvisé, elles interrogent l'absurdité d'un décret absent du Coran.
Pourquoi les femmes ont-elles accès au cinéma et pas aux matches de foot ?
Le sergent apostrophé s'embrouille, se contredit puis se tait. Une brèche
s'ouvre et la plus vindicative s'y faufile. Quelques rebondissements et une
virée mémorable aux pissotières plus tard, la rebelle remporte la mise :
elle parvient à établir un rapport d'égal à égal avec ses oppresseurs.
Oppresseurs involontaires (c'est l'une des grandes réussites du film),
puisque eux aussi doivent se plier à l'ordre établi. A la différence qu'ils
n'ont pas besoin de l'interroger.
FIN DE PARTIE
Dans cette prison de fortune transformée en terrain de
foot commence alors à se jouer une toute autre partie. Avec d'autres règles,
d'autres codes. La solidarité l'emporte. Un trop court instant. Mais la
possibilité est déjà esquissée. La suite rejoint le rêve. On peut se laisser
bercer ou le déplorer. Quoi qu'il en soit, Jafar Panahi offre une très belle
relecture des enjeux du ballon rond. Une alternative bienvenue, surtout à la
veille de cette Coupe du monde 2006 !
Source : Le courrier
Jafar Panahi – Filmographie
Hors
jeu (Off Side) (2006)
Sang
et or (Talaye sorkh) (2003)
Le
Cercle (The Dayereh) (2000)
Ardekoul (1997)
Le
Miroir (Ayneh) (1996)
Le
Ballon blanc (Badkonake sefid) (1995)
Jafar Panahi a trouvé dans « Offside » une joyeuse
astuce : le foot en toile de fond pour établir les règles d'un nouveau jeu
où des iraniennes luttent pour l'égalité des droits.
Tableaux de la discrimination féminine ou sociale en
Iran, les derniers films de Jafar Panahi ne ménagent pas leurs critiques. Le
Cercle suivait les destins croisés de quatre fugitives coupables d'abord
d'être femmes. Sang et or, lui, creusait le fossé économique entre les hauts
et les bas de Téhéran. Ces oeuvres, plus proches d'un cinéma social à la Ken Loach que des envolées lyriques d'un Kiarostami ou d'un Makhmalbaf,
arrachaient leurs images à l'urgence de l'instant, empoignaient la réalité
dans la semi-clandestinité. Semblable dans sa forme et sa démarche, le
nouveau-né de Jafar Panahi, Offside (Hors-jeu), épingle lui aussi la
condition des femmes et ses fondements sociaux. Mais cette fois, le
réalisateur change radicalement de ton. Au lieu de livrer la réalité dans
toute sa cruauté, il la détourne avec une joyeuse ingéniosité. Ou plutôt, il
la décentre par un glissement dans le hors champ (de l'action et non du
cadre), de fait dans le hors-jeu. Le hors-jeu du match de foot, le hors-jeu
des femmes bannies de la vie publique, le hors-jeu d'une discrimination
finalement aplanie par la nécessité. Cette astuce ne l'a pas soustrait à la
censure, mais lui a valu une nouvelle consécration en Occident - le Grand
prix du Jury au dernier festival de Berlin.
En Iran, les femmes ne sont pas admises dans les stades
de football. Comment faire quand on est une jeune fille passionnée par ce
sport ? On se déguise en garçon. Et on se fait arrêter. Mais on décide de
mettre tous les moyens en oeuvre pour assister coûte que coûte au jeu.
Hors-jeu est une comédie coup de poing, entre rire et larmes, par le
réalisateur du Cercle.
CASQUETTE ET CLOPE AU BEC
Tout commence dans un bus secoué par les cris d'une bande
de supporters survoltés. Chacun y va de son commentaire, de son pronostic.
Pour sûr, l'équipe d'Iran doit l'emporter face à Bahrein et se qualifier
pour la Coupe du monde. Au milieu du tumulte, une voix se tait. Et pour
cause : casquette à rabats et chemise de bûcheron ne parviennent pas à
dissimuler la finesse de la silhouette. Une jeune femme a osé se glisser
dans la virile mêlée... Pire, elle va tenter de braver l'ultime interdit,
franchir les portes du stade pour assister, elle aussi, à ce fameux match.
Mais le contrôle est sévère et le subterfuge vite démasqué. La
« traîtresse » n'accédera jamais aux gradins. Elle ira rejoindre les autres
malheureuses condamnées à rester dans les coulisses sous la surveillance
d'une poignée de soldats. Là, l'aventure devient croustillante. Les
téméraires, cheveux courts et clope au bec, ne sont pas seulement des
inconditionnelles du ballon rond. Elles représentent aussi la haute
dissidence en pays islamique. Entre deux buts rapportés par un commentateur
improvisé, elles interrogent l'absurdité d'un décret absent du Coran.
Pourquoi les femmes ont-elles accès au cinéma et pas aux matches de foot ?
Le sergent apostrophé s'embrouille, se contredit puis se tait. Une brèche
s'ouvre et la plus vindicative s'y faufile. Quelques rebondissements et une
virée mémorable aux pissotières plus tard, la rebelle remporte la mise :
elle parvient à établir un rapport d'égal à égal avec ses oppresseurs.
Oppresseurs involontaires (c'est l'une des grandes réussites du film),
puisque eux aussi doivent se plier à l'ordre établi. A la différence qu'ils
n'ont pas besoin de l'interroger.
FIN DE PARTIE
Dans cette prison de fortune transformée en terrain de
foot commence alors à se jouer une toute autre partie. Avec d'autres règles,
d'autres codes. La solidarité l'emporte. Un trop court instant. Mais la
possibilité est déjà esquissée. La suite rejoint le rêve. On peut se laisser
bercer ou le déplorer. Quoi qu'il en soit, Jafar Panahi offre une très belle
relecture des enjeux du ballon rond. Une alternative bienvenue, surtout à la
veille de cette Coupe du monde 2006 !
Source : Le courrier
Jafar Panahi – Filmographie
Hors
jeu (Off Side) (2006)
Sang
et or (Talaye sorkh) (2003)
Le
Cercle (The Dayereh) (2000)
Ardekoul (1997)
Le
Miroir (Ayneh) (1996)
Le
Ballon blanc (Badkonake sefid) (1995)
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Un tarif préférentiel de 4.50 € adulte et
3.20 € enfant, sur présentation de ce coupon vous est proposé
Renseignement : Association Nima 03.20.38.45.83 ou
sur le site Nima http://nima.lille.free.fr
Le Méliès - rue Trudaine 59650 Villeneuve-d'Ascq Métro/accès : Triolo
|
 Dans le cadre des journées portes ouvertes
des artistes "Les Couleurs du temps" 20/21/22 octobre 2006 nous vous
invitons à visiter l'exposition
"Les papillons Noires"
peinture figurative de
Mryam Farnoodnia
mais aussi
l'exposition d'art brut de
Parviz LAK
à
"l'Atelier 4"
91 Rue jules Férie à Hellemmes
Vendredi 20 de 14h 19h Samedi 21
dimanche 22
10h-13h 15h-20h |
|
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Chers amis,
Selon une tradition
vieille de plusieurs millénaires, les iraniens célèbrent leur nouvel an
Nowrouz le 21 mars de chaque année avec l’arrivée du printemps. Dans un but
de rapprochement culturel, L'Association Nima vous invite à partager avec la
communauté iranienne
La Fête de
Nowrouz 1385
Dans une Grande Soirée
dansante
L'apéritif suivi d'un
repas dansant jusqu'à 3h du matin
Boisson , café , thé
Samedi 25 Mars dès
19h30
à
L’Hotel Mercure Lille –Aéroport
110, rue Jean
Jaurès 59810 Lesquin
Tél : 03
20 87 46 10 www.mercure.com
Nous vous prions de
bien vouloir réserver vos places avant le 15 Mars en nous retournant le
bulletin-réponse, ci-joint, accompagné de votre règlement.
Vous pouvez également
déposer votre bulletin lors du marché de Nowrouz qui aura lieu le dimanche
19 mars.
" .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . .
nom et prénom :
.........................................................................................................................................
Adresse :
....................................................................................................................................................
.......................................................................................................................
Tél : ......................................
Email :
.......................................................................@...............................................
Adultes :
.................................................. pers. x 30 € ( dîner
compris ) = .......................... €
enfants ( 4 à 10 ans
) : .......................... pers. x 15 € ( dîner compris ) =
.......................... €
Total = ........................... €
Ci-joint chèque
bancaire de .................... € à l’ordre de l’Association Nima.
|
|
Dans le cadre de ses
activités culturelles et artistiques, Nima vous invite à son 8éme
marché du nouvel an
iranien
BAZAR-E-NOWROUZI .
Le marché de Nowrouz
est l’occasion de découvrir ou de redécouvrir les spécialités iraniennes et
de rencontrer la communauté iranienne du Nord.
A cette occasion les
familles ou les personnes présentent des stands de produits artisanaux,
spécialités culinaires , etc.
Ainsi, le marché de
Nowrouz inaugure la période de la fête du nouvel an iranien le 21 Mars, qui
dure près de trois semaines.
BAZAR-E-NOWROUZI
Dimanche 19 Mars 2006
de 15h30 à19h
Salle de cantine
scolaire Henri de Toulouse Lautrec
Rue Traversière ,
Villeneuve D’Ascq, Métro Triolo
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MERCREDI 15 MARS
2006
à 18 h
OPÉRA DE
LILLE
CONCERTS
Le Choeur de l’Opéra de Lille LES
MUSIQUES DU MONDE
AU COEUR DES
MUSIQUES PERSANES
En partenariat avec le Théâtre de la Ville
Paris
Salar
Aghili chant,
Hamed Fakouri târ,
Shervine Mohajer kamantché,
Mohsen Sadeghi ney,
Harir Shariat Zadeh daf
Les Concerts du Mercredi à 18 h
consacrés aux
musiques du monde abordent les grandes traditions artistiques orientales,
italiennes, persanes, iraniennes, indiennes ou encore andalouses. Ces
changements d’horizons sont toujours assurés par de remarquables interprètes
qui font tous références dans leurs domaines vocaux ou instrumentaux.
Souvent, leurs approches passionnées n’hésitent pas à faire se rencontrer
tradition et modernité.
PLEIN TARIF : 8
E
TARIF RÉDUIT : 5 E
Pour les abonnés
“Places aux Jeunes !”, “6 spectacles
et +”
et pour les
enfants de moins de 12 ans
(sur présentation
d’un justificatif)
Information / Billetterie 2,
rue des Bons-Enfants / BP 133 / F-59001 Lille cedex
Aux guichets de l’Opéra Entrée rue
Léon Trulin (Lille) Les guichets sont ouverts du mardi au samedi
de 12h à 19h
Par téléphone T + 33 (0)3 28
38 40 40
Sur le site Internet de l’Opéra de Lille
www.opera-lille.fr
|
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Aratta
à l'aube des civilisations samedi, 28 janvier 2006 à 20:40 sur ARTE
Aratta, à l'aube des civilisations
(France, 2005, 52mn)
Réalisateur: Olivier Julien
Retour sur les fouilles archéologiques de Jiroft, en Iran, qui ont mis en
évidence l'existence d'un royaume inconnu vieux de 5 000 ans, aux vestiges
d'une exceptionnelle richesse.
En 2001, dans une vallée enclavée du sud-est de l'Iran, près de la ville
de Jiroft, la crue puis le retrait de la rivière Halil Roud font affleurer à
la surface du sol de somptueux vases sculptés dans une pierre sombre, la
chlorite. Un pillage massif met bientôt le site en danger, poussant les
autorités à le boucler et à ouvrir des fouilles sous la direction de Youssef
Madjidzadeh, un spécialiste de la Mésopotamie. Dans les vestiges mis au
jour, celui-ci reconnaît un style décoratif déjà rencontré, aussi bien en
Mésopotamie que dans la vallée de l'Indus, mais jamais identifié. Dès la
première campagne, les archéologues sont persuadés qu'une civilisation
urbaine organisée a prospéré dans cette vallée longue de 400 km, à l'aube du
troisième millénaire avant J.-C. Car des constructions monumentales semblent
attester d'une organisation étatique. Youssef Madjidzadeh veut même y voir
le mythique royaume d'Aratta, mentionné par quatre légendes sumériennes.
Rediffusions : 29.01.2006 à 14:00 , 04.02.2006 à 02:00
, 04.02.2006 à 11:55
|
La nuit de Yalda
2005
Samedi 17 décembre
|
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MYSTERIEUSES CITES D'ASIE
ISPAHAN
Mardi 6 décembre 2005
sur France 5
( TNT,Câble et Satellite uniquement )
Début : 20h55
Fin : 21h44
Série documentaire en 6 épisodes de 52' écrite par Pierre Combroux, réalisée
par Pierre Combroux et Hideyo Fujita, et coproduite par NHK/Bayerischer/Rundfunf
Telepool/Télé Images International, avec la participation de France 5.
Production exécutive : Takashi Watanabe.
Musique : Philippe Jacquet. Narration : Jean Rochefort. 2003.
Les villes d'Asie fascinent tant par leur mystère que par leur beauté et
leur charme. Leur mélange de modernité et de traditions millénaires en fait
souvent des cités uniques, attachantes, dont on aimerait percer les
mystères. Loin des clichés touristiques et filmée avec une sensibilité
asiatique, cette série à la fois instructive, originale et de qualité,
invite le téléspectateur dans une découverte en profondeur des différentes
villes d'Asie.
Pékin, Bénarès, Jakarta, Katmandou, Ispahan, Kyoto... autant de cités
dévoilées sous un jour original : la visite des quartiers insolites et
populaires ou des lieux sacrés, la fidèle reconstitution, par images de
synthèse, de lieux parfois disparus offrent une meilleure compréhension de
ces villes et de leurs secrets... (5/6)
Ispahan. Située dans les montagnes rocheuses de l'Iran, la ville
d'Ispahan se distingue par ses mosquées sublimes, ses grands bazars et ses
allées labyrinthiques, héritage de l'Empire persan. Au centre de la ville,
se dresse la mosquée royale, magnifiquement décorée, et le palais royal
d'Ali Qapu, inscrit au patrimoine de l'Unesco.
Dans ses petites ruelles, les artisans traditionnels travaillent l'or,
l'argent, l'ivoire et les tissus... Durant plusieurs années, nombre de
richesses furent accumulées à Ispahan par les marchands arabes, qui
contribuèrent amplement au développement de la ville. La visite du grand
bazar offre un aperçu de quelques-uns de ses trésors et laisse imaginer les
richesses de l'Empire persan... (Programme sous-titré par télétexte pour les
sourds et les malentendants) |
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Dans le cadre de la saison DO’KA
organisée par la Condition Publique
projection Film
SOMMEIL AMER de Mohsen Amir Youssefi
Vendredi 25 novembre à 20H00
2004 / Iran / 90’
Le Fresnoy
Studio national des arts contemporains
22 rue du Fresnoy
BP 179
59202 Tourcoing cedex FRANCE
Tel : + 33 (0)3 20 28 38 00
http://www.lefresnoy.net/
Tarif plein : 4 € - Tarif réduit : 3,5 €
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Film Iranien - 2001 - 1h32 - Couleur
Titre original : Zir-E Pust-E Shahr
Un film dramatique de
Rakhshan Bani-Etemad
Du 19 oct.
au 25 oct.
2005
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Film Iranien
du 6 au 12 juillet
2005
Sommeil amer
Titre original : Khab-E Talkh
Une comédie dramatique de
Mohsen Amiryoussefi, 1h27
avec
Abbas Esfandiari,
Delbar Ghasri,
Mohsen Rahimi ...
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BAZAR-E-NOWROUZI
Dimanche 13 Mars 2005 |
Nouvel an iranien
 Samedi
19 Mars 2005
|
4 films d'animation produits par
L'institut
pour le développement intellectuel des Enfants
et des
Adolescents
2 , 5 ,
8
Février 2005
|
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" La nuit de
Yalda "
Soirée
dansante 
Buffet de collation
Samedi 18 décembre 2004
|
Une
Soirée de Cinéma Iranien
le jeudi 16 décembre 2004
Ensemble
ARAZBARI
(musique traditionnelle
AZÉRIE)
Shahrâm SHAGHAGHI
(Târ),
Shivâ MOGHADDAM
(chant et Gaval),
Christian PERRAUDIN
(Tombak, Naghâreh)
Dimanche 28 Novembre
2004 à 15 h30
à la Maison
Folie du
Fort de Mons
Rue Normandie,
Mons-en-Baroeul (métro :
Fort de Mons)
Récital présenté par la M.J.C. de
MONS-en-BARŒUL
dans le cadre de ses manifestations
pour la
FRATERNITÉ
et le
PARTAGE des
CULTURES,
Entrée
libre
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 Mercredi
23/6/2004
Cinéma sur ARTE
22.40 Un temps pour l’ivresse des chevaux
Film de Bahman
Ghobadi (Iran, 2000, 1h20mn, VOSTF)
Scénario : Bahman Ghobadi
Avec Ayoub Ahmadi
(Ayoub), Jouvin Younessi (Rojin), Amaneh Ekhtiar-dini (Ameneh), Madi
Ekhtiar-dini (Madi), Nezhad Ekhtiar-Dini et les habitants des villes de
Sardab et Bané
 |
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"Sang et or"
Film iranien de Jafar Panahi 1h37 VOSTF
Cinéma, " Le Méliès " centre commercial du Triolo
Villeneuve D'Ascq, métro Triolo
7 > 13 Avril 2004
SÉLECTION OFFICIELLE - UN CERTAIN REGARD
Festival Cannes 2003
mer. 7 20h45 - jeu.8
18h00 - dim.11 16h15
lun.12 20h45 - mar.13
18h30 |
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Nouvel an iranien
samedi 20 Mars 2004
A l'occasion de nouvel an iranien, Radio Campus Lille a
invité l'association Nima dans " l'heure des musiques du mondes
" le Lundi 22 Mars à
14.30, nous évoquerons la façon dont les iraniens accueillent le
nouvel an.
106,6 MHz en FM stéréo
************************************************************
BAZAR-E-NOWROUZI
Dimanche 7 Mars 2004 |
Vendredi 6 février 2004
une soirée au profit des sinistrés du
tremblement de terre de
Bam (Iran)
Soirée multiculturelle
Au profit des victimes du
tremblement de terre de
Bam (Iran)
Concert
Samedi 31 janvier 2004
soirée de bienfaisance |
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" La nuit de
Yalda "
Soirée
dansante
Buffet de collation
Samedi 18 décembre 2004
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Une
Soirée de Cinéma Iranien
le jeudi 16 décembre 2004
Ensemble
ARAZBARI
(musique traditionnelle
AZÉRIE)
Shahrâm SHAGHAGHI
(Târ),
Shivâ MOGHADDAM
(chant et Gaval),
Christian PERRAUDIN
(Tombak, Naghâreh)
Dimanche 28 Novembre
2004 à 15 h30
à la Maison
Folie du
Fort de Mons
Rue Normandie,
Mons-en-Baroeul (métro :
Fort de Mons)
Récital présenté par la M.J.C. de
MONS-en-BARŒUL
dans le cadre de ses manifestations
pour la
FRATERNITÉ
et le
PARTAGE des
CULTURES,
Entrée
libre
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Mercredi
23/6/2004
Cinéma sur ARTE
22.40 Un temps pour l’ivresse des chevaux
Film de Bahman
Ghobadi (Iran, 2000, 1h20mn, VOSTF)
Scénario : Bahman Ghobadi
Avec Ayoub Ahmadi
(Ayoub), Jouvin Younessi (Rojin), Amaneh Ekhtiar-dini (Ameneh), Madi
Ekhtiar-dini (Madi), Nezhad Ekhtiar-Dini et les habitants des villes de
Sardab et Bané
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"Sang et or"
Film iranien de Jafar Panahi 1h37 VOSTF
Cinéma, " Le Méliès " centre commercial du Triolo
Villeneuve D'Ascq, métro Triolo
7 > 13 Avril 2004
SÉLECTION OFFICIELLE - UN CERTAIN REGARD
Festival Cannes 2003
mer. 7 20h45 - jeu.8
18h00 - dim.11 16h15
lun.12 20h45 - mar.13
18h30 |
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Nouvel an iranien
samedi 20 Mars 2004
A l'occasion de nouvel an iranien, Radio Campus Lille a
invité l'association Nima dans " l'heure des musiques du mondes
" le Lundi 22 Mars à
14.30, nous évoquerons la façon dont les iraniens accueillent le
nouvel an.
106,6 MHz en FM stéréo
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BAZAR-E-NOWROUZI
Dimanche 7 Mars 2004 |
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Vendredi 6 février 2004
une soirée au profit des sinistrés du
tremblement de terre de
Bam (Iran)
Soirée multiculturelle
Au profit des victimes du
tremblement de terre de
Bam (Iran)
Concert
Samedi 31 janvier 2004
soirée de bienfaisance |
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